Un mariage infernal - Chapitre 7 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 7 = ============== Michel resta éveillé une grande partie de la nuit, mais comme il était épuisé de la nuit précédente, il finit par sommeiller de temps à autre. Pour de courtes périodes seulement, et toujours pour se réveiller avec l'odeur infecte du derrière de sa femme. Michel se demandait, allongé ainsi, ce qu'il avait fait en se mariant avec Diane. Quel genre de vie allait-il avoir ? Il devait absolument lui parler le lendemain matin, s'il réussissait à survivre à cette nuit infernale. Il était tellement fatigué, et il souffrait de ses côtes, après que sa femme se soit assise sur lui toute la journée. La nuit passait lentement, et le fait de la passer sous les draps conditionnait lentement Michel à sa nouvelle vie. Quand Diane se réveilla le matin, elle sentit immédiatement le souffle de Michel entre ses jambes. Oh, c'était si agréable ! Elle devina par l'irrégularité de sa respiration qu'il était réveillé, et elle supposa, avec raison, qu'il en avait été ainsi presque toute la nuit. Bien. C'était un bon entraînement pour lui. Elle repoussa les couvertures et leva une jambe. Pauvre Michel, il avait vraiment l'air d'avoir souffert le martyre. "Bonjour, chéri," roucoula-t-elle. Michel leva sa tête de son autre jambe. "B-bonj-jour," répondit-il. "Diane, nous-nous devons parler." Diane lui sourit et mit un doigt sur ses lèvres : "Chhht. Remets ta tête sur ma jambe. J'adore avoir ta tête là." Michel obéit, et se retrouva avec son visage face au derrière de sa femme. "Diane, c'est ridicule. J-je veux dire, je ne peux pas rester comme ça là-dessous toute la nuit." Diane sourit. C'était tellement facile ! Il ne se plaignait même plus de porter une ceinture de chasteté et de se voir refuser tout plaisir sexuel, il se plaignait juste de devoir dormir avec son visage entre ses fesses. Et maintenant il se retrouvait à parler à son derrière... "Pourquoi Michel ? Ce n'est pas vrai du tout. Tu as déjà passé toute la nuit dernière dans cette position, ainsi que la nuit précédente. Tu me dis à chaque fois que tu ne peux pas faire ce que je te demande, et après tu arrives toujours à te débrouiller. Embrasse-moi". Il s'exécuta, embrassant son minou. "M-mais Diane, j-je ne peux pas, je veux dire il n'y a pas d'air, je ne peux pas dormir, ça sent... J-je veux dire, tu as des gaz et je..." Diane tapota doucement sa joue, alors qu'il était allongé sur sa cuisse. "Chéri, c'est naturel de péter en dormant, mais j'espère qu'on ne va pas encore reparler de mes gaz. Je pensais que nous avions conclu le sujet il y a longtemps au cinéma. Tu n'espères quand même pas que j'essaye de garder mes gaz pour avoir ensuite des crampes d'estomac, n'est-ce-pas ?" "N-non, mais..." "Alors chéri, comment peux-tu t'attendre à ce que mes gaz ne sentent pas ? Je veux dire, tout le monde sait bien que les pets sentent, n'est-ce-pas ? Et apparemment respirer mes pets toute la nuit ne t'a pas tué. Tu peux ne pas en avoir apprécié l'odeur, et ça je peux le comprendre, mais tu as survécu, n'est-ce-pas ?" Michel déglutit, se sentant d'un coup stupide de se retrouver à parler ainsi au derrière de sa femme. "Diane, tout ceci est ridicule. Pourquoi dois-je dormir là-dessous ? D'ailleurs je ne peux pas y dormir. Je suis resté éveillé toute la nuit." Diane savourait ce moment. Maintenant il discutait avec elle, mais en lui obéissant, gardant sa tête sur sa jambe et parlant à son derrière. "Parce que c'est ce que j'ai dit, Michel. J'aime quand tu es là-dessous. Ecoute chéri, je suis sûre que quand ton corps sera suffisamment fatigué, il t'apprendra à t'endormir là. Tu dois t'habituer à rester là-dessous, entre mes jambes, et tu le feras, chéri. Tu verras. Je parie que dans deux mois dormir ta tête là-dessous sera devenue la chose la plus naturelle du monde pour toi. Quand je dirai qu'il est l'heure de dormir, tu viendras automatiquement mettre ta tête dans mon cul." Dans deux mois ? Elle était donc sérieuse quand elle parlait de rendre permanente cette situation ! "Bon, ça suffit maintenant. J'ai envie de pisser. Va aux toilettes et mets tes bras sur le siège comme je te l'ai appris." Michel, complètement abattu, se leva lentement, se dirigea vers les toilettes et s'agenouilla devant le siège, ses bras sur la lunette. Diane le suivit et s'assit sur ses bras. Il se rappela ce qu'elle lui avait dit et il inclina son visage vers ses genoux pour commencer à embrasser ses cuisses. Elle sourit... Oh, comme cela allait être facile de le modeler à sa volonté. Elle tapota sa tête comme elle l'aurait fait avec un animal familier. Michel entendit son urine couler, puis un pet dont il sentit l'odeur qu'il commençait à connaître si bien. Michel se sentait épuisé et déprimé, mais il décida que la meilleure chose à faire était de faire ce que sa femme lui avait ordonné et essayer de la satisfaire. Elle finirait bien par changer, elle devait le faire ! Puis il entendit un étron tomber dans l'eau. Il sursauta mais continua à embrasser ses jambes. Il commençait à connaitre chaque détail de ses jambes alors qu'ils les embrassait, chaque grain de beauté, chaque bouton. Il continua à l'embrasser, prenant garde à ne pas relever la tête alors qu'il s'exécutait. Il entendit encore des bruits d'éclaboussures, puis Diane se leva quand elle eut fini : Michel put voir alors ses excréments baignant dans de l'eau jaune. Il la vit prendre un morceau de papier toilette pour s'essuyer, avec une douceur toute féminine, jeta le papier puis tira la chasse d'eau. Michel demanda ensuite la "permission" d'y aller lui-même, et il fut surpris lorsqu'elle répondit : "pas maintenant Michel. Je veux que tu t'habitues à ce que je contrôle ton accès aux toilettes, et que tu ne puisses pas y aller quand tu veux. Cela te fera un bon entraînement d'avoir la vessie pleine pendant un moment. De plus, je voudrais que tu m'embrasses maintenant." Vessie pleine ? Cela n'allait pas être facile. Mais elle voulait être embrassée, et ça en valait la peine. Il la suivit dans la chambre et essaya de l'embrasser sur les lèvres, mais elle lui rit au nez. "Qu'es-tu en train de faire Michel ?". Il était embarrassé. "J-j-j'essayais de t-t'embrasser..." "Oh Michel, Michel, Michel, pas sur mes lèvres. Michel, mes lèvres sont pour mes amants. Je suppose que je dois te donner une nouvelle règle. Tu as besoin de beaucoup de règles. Maintenant écoute. Tu n'es jamais autorisé à m'embrasser au-dessus de ma taille... Oh Michel, ne me regarde pas comme ça. Je suis une belle plante. Cela te fait plein de partie de mon corps à embrasser en-dessous de ma ceinture. Mais maintenant je veux que tu embrasses mon cul. J'aimerais ça. Et cela établira bien le type de relation que nous avons, et combien tu m'aimes. Maintenant mets-toi à genoux." Michel sentit le désespoir de sa situation, et fit ce qu'elle disait en s'agenouillant, alors que Diane se retournait. "Maintenant mets tes bras autour de ma taille". Cela lui semblait si stupide ! "C'est ça. Maintenant embrasse mes fesses. Allez, embrasse mon cul. Montre-moi combien tu m'aimes." Michel embrassa son énorme fesse gauche. "Mmmmhhh. C'est bon. Mais continue donc. Allez Michel, soit romantique. Dis-moi que tu m'aimes." Et il le fit. Pauvre Michel, sevré de sexe, son pénis cadenassé, ayant un besoin pressant d'aller aux toilettes, épuisé par le manque de sommeil, et maintenant à genoux derrière sa femme, embrassant ses fesses et lui disant qu'il l'aimait. Finalement après quelques minutes elle l'arrêta : "maintenant ce sera la manière dont tu devras m'embrasser quand tu rentres ou pars de la maison, comme un homme normal qui embrasserait sa femme sur ses lèvres, ce que tu n'es pas autorisé à faire. Je veux que tu t'habitues à embrasser mon cul, Michel, parce que tu vas devoir le faire souvent. Maintenant tu peux aller aux toilettes, mais n'oublies pas que tu ne dois pas te laver le visage. Comme Michel reconduisait Diane à sa maison, il jeta un coup d'oeil à sa femme, imposante et même grosse, endormie sur le siège de la voiture à ses côtés. Dans quel pétrin s'était-il fourré ? Quel sorte de mariage cela allait-il être ? Son pénis était cadenassé, il devait rester vierge, ses côtes le faisaient souffrir après qu'elle se fut assise dessus, et il était épuisé du manque de sommeil après avoir passé les deux nuits précédentes sous les couvertures, avec son visage sur l'anus de sa femme. Et le contrôle de sa vessie ? Avait-il fait une colossale erreur en se mariant avec Diane ? Il n'avait pas le droit de l'embrasser au-dessus de sa ceinture, mais il devait embrasser son derrière. Mais il se disait que tout cela changerait un jour, elle le ferait sortir de se système, il devait être patient : hélas, il verrait bientôt à quel point il se trompait. Ils rentrèrent à la maison en fin d'après-midi, et dès qu'ils entrèrent chez Diane, où ils allaient vivre désormais, elle dit à Michel de prendre une douche et de se raser. Il était heureux de pouvoir enfin nettoyer les traces du plaisir de sa femme de ce matin. Quand il sortit de la salle de bains, il vit sa femme allongée sur le lit, encore habillée, discutant et riant au téléphone. Michel chercha ses vêtements. "Diane, où sont mes vêtements ?" "Juste une minute, Carole. Michel, pas de vêtements à la maison. Je veux que tu sois nu quand tu es ici." Michel réalisa que la personne au téléphone, quelle qu'elle fut, devait avoir entendu ce que sa femme venait de dire. Elle se remit à parler au téléphone tout en riant, et Michel comprit que c'était son amie Carole, et que donc celle-ci était maintenant parfaitement au courant de sa situation. Michel était désespéré : "Diane, c'est ridicule. Je veux mes vêtements, et je veux retirer ce truc." Diane attendait ce moment, et il était maintenant temps de le gérer. "Ne quitte pas Carole," dit-elle à son amie en posant le combiné, se dirigea vers son mari et le gifla très fort. Elle se mit à lui crier dessus : "Ne lève plus jamais la voix contre moi, Michel ! Tu m'as compris ?" Michel, abasourdi, murmura un "oui" alors qu'il portait une main à sa joue en feu. "Voici pour toi une nouvelle règle : pas de vêtements à la maison. Maintenant reste debout ici comme un bon garçon jusqu'à ce que j'ai fini au téléphone et pense à ce que je viens de dire." Elle reprit ensuite le combiné et continua sa discussion avec Carole. Elle rit et Michel l'entendit dire : "oh, il n'ira nulle part, Carole, il m'appartient maintenant. Allez, à demain. Salut." Michel déglutit : "Diane, chérie..." "Oh, j'adore ça Michel. Je veux que tu dises 'chérie' à chaque fois que tu m'adresses la parole. Je veux que tu me dises 'non chérie' ou 'oui chérie', comme un bon mari soumis." Elle rit. "Et maintenant une nouvelle règle pour toi : pas de vêtements à la maison." "Mais, Diane... Chérie... Pourquoi..." Diane le coupa et lui répondit de la manière qu'elle utiliserait souvent par la suite, la manière dont les enfants détestent voir leurs parents leur répondre : "parce que c'est ce que j'ai dit, Michel". A suivre...