Un mariage infernal - Chapitre 6 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 6 = ============== Finalement vers une heure Diane annonça qu'elle avait faim et qu'elle "devait aller pisser", et se leva du ventre de Michel. Michel, éreinté et dépité suivi sa femme sur le bord de mer. Ils entrèrent tous deux dans les toilettes publiques, et Michel dut se contorsionner au-dessus de la cuvette en maintenant l'extrémité de son pénis cadenassé le plus loin possible de son corps, comme il commençait à apprendre à le faire. Ensuite, ils se retrouvèrent et s'assirent tous deux pour déjeuner. "Allez chéri, mange," dit Diane, et Michel était heureux de la voir de bonne humeur. Il commença à manger en silence, puis se mit à parler : "Diane, j-je suis désolé d'avoir oublié la serviette." "Je sais que tu l'es, chéri. Je pense qu'à partir de maintenant tu penseras plus à mon confort, n'est-ce pas ?" "Oui", répondit-il. "En fait Michel, c'est finalement une bonne chose que tu ais oublié la serviette. Je n'avais jamais réalisé à quel point ton ventre est confortable. J'adore m'assoir dessus. Retournons maintenant à la plage que je puisse encore en profiter un peu." Michel était horrifié. "Oh, s'il te plaît, pas encore, retournons à la chambre." Diane prit la main de Michel comme une mère le ferait avec son enfant, et le reconduisit vers la plage. "Michel, il est seulement une heure et demie, c'est une journée magnifique et j'adore la plage." Quand ils revinrent à l'endroit où ils avaient passé la matinée, Diane demanda à son mari de s'allonger. Le visage de Michel reflèta sa peur à l'idée de ce qui allait arriver. "Oh, s'il te plaît, ne t'asseois pas sur moi à nouveau," supplia-t-il. "Ne me pousse pas à bout, Michel. Allonge-toi. Maintenant !" Michel obéit, et Diane s'assit de nouveau lourdement sur son ventre, provoquant ses gémissements : il venait juste de manger. Diane lui sourit : "Tu sais que tout ceci est très bon pour toi, Michel. Tu es du genre agité, et cela va te permettre d'apprendre à rester tranquille. Te rends-tu compte que tu es déjà resté immobile pendant presque quatre heures ce matin ?" Michel, luttant pour trouver sa respiration, agitait sa tête sur les côtés. Diane commença à lire son livre, détendue sur le ventre de son mari, en jetant de temps à autre un regard pour savourer l'air désespéré de Michel alors qu'il cherchait de l'air. Elle savait que d'ordinaire une femme devait donner confiance à son mari, mais dans son cas au contraire elle allait détruire toute sa confiance en lui, et l'utiliser comme une serviette de plage était une excellente méthode pour cela. Il était presque six heures lorsque finalement Diane se leva. Michel fut soulagé, mais tout son corps était endolori. Ses côtes le meurtrissaient comme si elles avaient été brisées, et il avait la nausée. Ils sortirent pour dîner ce soir-là, puis revinrent à leur chambre. Alors qu'ils rentraient dans la pièce, d'autres leçons attendaient Michel. Diane sentait qu'elle ne devait pas aller trop vite, mais d'un autre côté elle devait donner le ton de son mariage le plus tôt possible. Michel commençait à se diriger vers les toilettes quand Diane lui demanda où il avait l'intention d'aller. Il le lui dit. "Michel, je pense qu'il est temps de mettre au point quelques règles pour les toilettes dans notre couple." Michel la regarda. Quoi maintenant ? Des règles pour les toilettes ? Elle reprit : "premièrement Michel, nous n'avons qu'un seul WC et j'y aurai toujours la priorité. Ainsi tu devras toujours me demander la permission pour y aller. Si je n'ai pas besoin des toilettes ou de toi pour quelque service, alors je te laisserai probablement y aller. Deuxièmement, quand tu y vas je veux que tu ne fermes jamais la porte. Tu ne dois plus avoir d'intimité vis-à-vis de moi. La porte doit toujours rester ouverte. Compris ?" Michel, désorienté, acquiesca. "Je ne veux pas, Michel, que tu considères les toilettes comme un endroit pour me fuir". C'était important et Diane avait raison d'établir ce point dès maintenant. Combien de personnes vont aux toilettes juste afin de s'isoler en fermant la porte ? Mais Michel ne pourrait plus utiliser cet endroit dans ce but dorénavant. Pas dans leur couple. "Bon maintenant j'ai envie de pisser, et j'ai pensé que tu pourrais m'aider. Suis-moi." Diane se dirigea vers les toilettes et Michel la suivit, troublé. "Je ne pense pas qu'il soit logique que nous utilisions tous les deux le même siège, tu ne trouves pas ?" Michel ne comprenait pas, mais il dit qu'il pensait que non. "Bien, on ne peut pas évidemment changer le siège à chaque fois, aussi j'utiliserai tes bras comme coussins et m'assierai sur eux à chaque fois que j'utiliserai les toilettes. Viens, je vais te montrer. Mets-toi à genoux devant le siège, et mets tes bras sur la lunette." Michel fit comme elle l'ordonnait et Diane baissa sa jupe. "Non Michel. Les paumes vers le haut. Comme ça. Maintenant je vais m'asseoir sur tes bras." Elle baissa ses bas et s'assit. "Voilà. Parfait". Diane baissa les yeux vers son mari, agenouillé bêtement en face d'elle alors qu'elle était installée sur ses bras. Il avait l'air ainsi si humble, à genoux devant elle. "Regarde chéri, n'est-ce pas romantique ? Un peu comme un chevalier servant posant sa veste devant la reine pour avancer. Tu m'offres tes bras et tes mains pour m'assoir quand je vais aux toilettes. Et c'est si relaxant, chéri." Puis Diane poussa la tête de son mari vers ses genoux. "Embrasse mes jambes, Michel". Et Michel commença à embrasser ses larges cuisses. "Mmmmhhh. C'est agréable, continue comme ça Michel. Continue à embrasser mes cuisses. Garde tes lèvres entrouvertes, et ne les lève pas de mes cuisses. Garde tes lèvres sur mes jambes et bouge ton visage afin d'en parcourir le dessus. Oui. Mmmhhh. Comme ça. Tu es un bon garçon." Enfin Diane finit d'uriner, et se leva. Michel vit des gouttes sur ses poils pubiens et nota qu'elle ne s'était pas essuyée, elle avait juste remonté sa culotte et ses bas. Mais il ne dit rien. "Merci Michel. Maintenant c'est ce que je veux que tu fasses à chaque fois que je dois aller aux toilettes. Tu t'agenouilles en face des toilettes avec tes bras sur le siège, et quand je m'asseois dessus tu baisses ta tête et embrasses mes jambes pendant que je pisse ou chie. D'accord ?" Michel acquiesca, troublé. Tout ceci était fou ! Mais elle finirait bien par changer... Puis elle lui donna la permission d'y aller. Il devait uriner, mais il se sentait tellement embarrassé avec Diane debout juste à côté, le regardant en souriant. Et il savait maintenant qu'elle ne lui laisserait plus d'intimité, aussi il n'avait plus le choix... Et avec cette damnée ceinture ! Michel regarda Diane qui souriait d'un air moqueur. Il s'allongea au-dessus des toilettes, passa sa main entre son ventre et le tube emprisonnant son sexe et le poussa le plus loin possible afin de ne pas s'uriner dessus. Au moment où il commença, Diane rit : "oh, j'adore ! C'est merveilleux !" Finalement Michel termina et avec un air triste il retourna dans la chambre. "Je suis fatiguée, Michel, cela a été une longue journée. Oh, juste un dernier point à voir, Michel : ta douche. Michel, à partir de maintenant je veux que tu te laves le soir avant d'aller au lit, et pas le matin avant d'aller au travail. Je te veux propre pour moi, pas pour tes collègues. Et aussi, je t'interdis de laver ton visage durant la journée." Michel parut étonné, aussi Diane expliqua : "Michel chéri, je parie que quand tu rentrais de nos rendez-vous, la première chose que tu faisais était de te nettoyer le visage, n'est-ce-pas ?" Toujours surpris, il répondit que oui. Elle opina : "je le savais. Hé bien, c'est un peu insultant Michel pour moi, que tu cherches à te débarrasser de mon odeur, tu ne trouves pas ? Bon, fini tout ça. Je veux que tu t'habitues à mon odeur. Je suis ta femme maintenant. Oh, j'oubliais Michel, après ta douche le soir je veux que tu te rases, et que tu le fasses parfaitement. Ton visage va se retrouver entre mes jambes très souvent, et je ne veux pas que ta barbe m'irrite à cet endroit. Compris ?" Il acquiesca. "Bien. Maintenant va prendre ta douche, rase-toi et viens au lit." Il prit sa douche, gèné par sa ceinture de chasteté, et quand il sortit de la salle de bains il vit sa femme allongée sur le dos dans le lit, souriant, avec ses larges cuisses écartées et ses genoux pliés, exposant ainsi sa toison pubienne, son sexe, et son anus. Un sourire moqueur apparut sur le visage de Diane. A côté du lit, sur la table de nuit il y avait des gâteaux salés, un bol de friandises et une cannette de bière. Il déglutit, réalisant qu'il allait affronter une nouvelle nuit à satisfaire sa femme avec sa bouche, sans obtenir de jouissance lui-même. Ce n'était pas juste ! C'était la dernière nuit de leur lune de miel, et son sexe était emprisonné dans cette maudite ceinture. Mais il savait que ce n'était pas le moment de discuter ou commencer une dispute. "Michel chéri, tu es vraiment mignon avec cette ceinture. Maintenant viens ici et lèche-moi. Je veux jouir sur ton visage." Il déglutit et se mit en position, sa tête entre les cuisses de sa femme. Son entrejambe sentait très fort. Elle avait été au soleil toute la journée, et cela ne l'avait pourtant pas dérangé de ne pas se laver. Il sentit cette odeur de transpiration, l'odeur naturelle de poisson de son vagin et de l'urine séchée, se rappelant qu'elle ne s'était pas essuyée après avoir uriné. Et enfin, bien sûr, l'odeur de son anus. Michel passa les quelques heures qui suivirent à satisfaire sa femme avec sa bouche et sa langue, pendant qu'il entendait la télé allumée. Puis Diane fit ce qu'elle ferait désormais toutes les nuits : quand elle fut satisfaite sexuellement, elle agrippa les cheveux de Michel et positionna son visage pendant qu'elle se tournait, de façon à ce que son nez soit sur son anus et sa bouche sur son sexe. Puis elle le bloqua avec ses cuisses pour la nuit, éteignit la télé et s'endormit. Soudain, cela frappa Michel comme une tonne de briques : elle allait le faire rester là-dessous de nouveau toute la nuit. Oh, non ! Et avec sa bouche pressée contre son sexe, il devait respirer par le nez, son nez qui était sur l'anus de sa femme... Berk ! Et comme il était étendu là, dans cette prison bouillante et puante, il se demanda comment il allait pouvoir endurer ça chaque nuit. C'était insensé ! Quel homme était fait pour passer ses nuits entières avec son nez dans l'anus de sa femme ? Il se raisonna en espérant que Diane sortirait plus tard de ce système... Si seulement il avait su ! A suivre...