Un mariage infernal - Chapitre 5 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 5 = ============== Enfin le matin arriva. Diane s'éveilla pour le premier jour de sa vie de femme mariée, et elle prit conscience de la tête de son mari coincée entre ses cuisses, sentant son souffle sur son sexe et son nez dans son anus. Elle sourit. Cela semblait si parfait, et tellement facile. Oh, il allait vraiment faire un mari parfait pour elle. Elle regarda le réveil et vit qu'il était 8 heures du matin. Le matin... Son mari était resté là-dessous toute la nuit. Elle réalisa combien cela avait dû être difficile pour lui de rester tout ce temps sans air frais, et cela lui rappela le jour où justement il lui avait dit qu'il appréciait de garder une fenêtre ouverte afin d'avoir de l'aération pour passer une bonne nuit. Oh, c'était fabuleux, cette sensation d'avoir son visage sous elle. Et alors elle prit sa décision. C'était ainsi qu'elle allait lui faire passer toutes les nuits dorénavant, sous les couvertures avec sa tête entre ses cuisses. Plus elle y pensait, plus elle trouvait cela parfait. S'il avait dormi à côté d'elle, elle aurait eu à supporter l'odeur de ses propres sécrétions qu'elle laissait sur le visage de son mari. Non, comme cela c'était parfait. C'était ainsi qu'ils allaient passer toutes leurs nuits à partir de maintenant. Tout à coup elle sentit des gaz arriver dans son ventre, et elle sourit alors qu'elle émettait une flatulence au visage de son mari. Elle le sentit essayer de bouger sa tête, mais elle le coinça avec ses cuisses. Elle adorait péter sur son visage. Cela montrait bien l'état de leurs relations réciproques. Elle mis sa tête sous les drap et sentit un instant... Berk ! Elle sourit à nouveau et resta ainsi un instant, savourant sa domination sur son jeune mari. Puis elle retira les couvertures, souleva une jambe et vit à la mine de Michel qu'il n'avait probablement pas fermé l'oeil de la nuit. Elle frotta son visage. "Bonjour chéri. Ce fut la meilleure nuit que j'ai jamais passée. C'était une parfaite nuit de noces pour moi. Comment te sens-tu ce matin ?" "Oh Diane, c'était affreux. Je n'avais pas d'air frais et je n'ai pas pu dormir." Michel sortit du lit, l'air épuisé et mécontent. Diane sourit. "Oh, mon pauvre bébé. Mais ne pense pas à combien cela a été désagréable pour toi, pense plutôt combien merveilleux ce fut pour moi. Merci chéri." Michel secoua sa tête. "Diane, tout ceci est ridicule. C'est comme ce... Cette chose". Il désigna sa ceinture de chasteté. "Diane, c'est notre lune de miel. Une lune de miel, c'est l'occasion de profiter du sexe, n'importe quel genre de sexe. S'il te plaît, retire-moi ce truc." Diane sourit à son jeune mari. "J'aime que tu portes ça, Michel", dit-elle en riant. "J'aime savoir ta bite emprisonnée. Cela te donne l'air si... Si impuissant. Et tu as raison, une lune de miel, c'est pour profiter du sexe. Et c'est ce que je veux tout de suite. Viens". Elle s'allongea sur le lit, écarta ses jambes et désigna son entrejambe. Michel déglutit, approcha docilement sa bouche et se mit à la satisfaire. "Mmmmmhh. Oh, c'était si agréable, Michel. J'adore avoir ton visage entre mes cuisses." Michel essaya de nouveau. "Diane, s'il-te-plaît enlève-moi ce truc..." Elle sourit. "Je ne peux pas. Je n'ai pas la clé. Je l'ai donnée à Carole pour qu'elle me la garde, et j'ai oublié de le lui redemander. Je suis désolée chéri." Michel était stupéfait : "C-Carole ? Elle sait ?" Diane sourit d'un air narquois. "Bien sûr qu'elle sait. C'est ma meilleure amie. Je lui dis tout. Je n'ai pas de secret pour elle. Ecoute Michel, c'est notre lune de miel et nous avons seulement aujourd'hui et demain pour en profiter, et je ne veux pas me disputer avec toi. Oublions cette clé et profitons de ces moments. Cela ne va pas te tuer de ne pas jouir pendant quelques jours. Et tu n'as certainement pas besoin de ta bite pour t'occuper de moi, n'est-ce pas ?" Michel déglutit. C'était si injuste ! C'était sa lune de miel à lui aussi, et sa femme lui annonçait qu'il n'aurait aucune satisfaction sexuelle. Si seulement il avait su cela avant ! Mais ensuite il se mit à réfléchir. Il ne pouvait rien y faire, donc autant essayer de le prendre du bon côté. "Regarde Michel, c'est notre lune de miel et il fait un temps magnifique. Je veux aller à la plage. Mets-toi en tenue de bain..." Michel ne savait pas quoi dire de plus, aussi il se mit à la recherche de sa tenue, l'air renfrogné. Il était tellement fatigué de sa nuit blanche... Et durant les quinze années de son mariage, ce qui attendait Michel était encore bien pire ! Diane allait accroître sa domination sur son mari d'années en années, jour après jour. Elle allait le contrôler totalement. Et juste après le mariage, Diane allait détruire toute fierté chez son mari, en commençant à le traiter comme un enfant. Et au fur et à mesure qu'elle le traitait ainsi, il prit ce rôle qu'elle lui imosait, et se mit à pleurer souvent, ce que Diane encourageait : cela prouvait toute sa détresse et elle adorait ça. Elle allait le transformer en une mauviette docile, soumise, juste ce qu'elle voulait qu'il devienne. Elle n'allait plus lui accorder aucun temps libre, ne lui permettant ni de lire ni de regarder la télé, ni d'avoir des amis : il était là pour la servir. Michel pensait à tout cela, alors que quinze ans plus tard il était allongé là, sous les couvertures, son visage contre le derrière odorant de sa femme, attendant que les heures passent comme il le faisait chaque nuit. Durant les quinze années de leur mariage, non seulement Michel resterait puceau, mais en plus Diane ne lui permettrait jamais d'avoir un seul orgasme. Il était si malheureux... Et encore, les gens malheureux peuvent oublier leur situation le soir quans ils dorment, mais même cela était refusé à Michel. Michel avait passé toutes les nuits de ces quinze dernières années comme il était en train de la passer en ce moment, avec son visage contre le derrière énorme et sale de sa femme. Il ne pouvait même pas se souvenir d'une autre manière de passer la nuit. Il ne pouvait se rappeler comment il faisait avant qu'il se marie, quand il pouvait dormir comme les personnes normales le font, le tête sur un oreiller, respirant de l'air frais. Après quinze années de cette vie, Michel avait appris que la meilleure chose qu'il avait à faire consistait à obéir à sa femme, dans toutes les situations. Et il se souvenait toujours de sa carrière prometteuse qu'il avait eu, et comment sa femme avait détruit tout cela, de même que sa vie entière. Elle l'avait conduit dans une impasse, le transformant en esclave soumis, et il n'y avait plus rien qu'il pouvait faire contre cela. Tout ce qu'il pouvait faire chaque nuit était de rester allongé là et de s'assurer que son nez restait bien positionné sur l'anus de sa femme, et... Pleurer. Quand Michel revint dans la chambre avec son maillot de bain, ce second matin de leur mariage, il avait l'air abattu, et sa ceinture lui faisait une grosse bosse sous le slip. Diane vit tout cela, et rit : "Oh chéri, cette ceinture est merveilleuse. Elle te donne l'air si viril. Toutes les autres femmes vont être vertes de jalousie." Diane savait pourquoi Michel avait un air si défait : il n'avait pas dormi de la nuit, et elle venait juste de lui dire qu'il n'aurait aucune satisfaction sexuelle durant sa lune de miel. Oh, attends de découvrir que cela ne serait pas seulement durant ces quelques jours, mais que cela durerait toujours ! Elle allait le transformer en un soumis parfait. "Bien chéri, c'est une journée magnifique. Allons à la plage." Michel suivit sa femme sans un mot, déterminé à lui parler plus tard, il devait juste trouver le courage. Il observa la silhouette imposante de Diane de dos, alors qu'elle marchait devant lui en maillot de bain, et il réalisa qu'il avait peur d'elle. Avait-il fait une erreur en se mariant avec elle ? "Bien chéri, ici ce sera parfait. Etends la serviette ici." La serviette ? "J-j-je n-n'ai pas apporté de serviette". Diane regarda son mari. "Tu es idiot ou quoi ? Quel imbécile va à la plage sans serviette, Michel ?" Michel était vexé. Pourquoi cela était-il de sa faute ? "Diane, ne crie pas. Je n'y ai pas pensé, tout simplement. Je vais juste rentrer et en ramener une." Peut-être s'il n'avait pas eu l'air si faible, si épuisé par son manque de sommeil, si... Si impuissant, Diane aurait réagi différemment. Mais devant son air si soumis, elle sentit monter son aggressivité. Elle ne pouvait tolérer cette attitude. Elle le gifla violemment, ignorant les gens sur la plage qui les regardaient. "A qui crois-tu parler ainsi, Michel ?" Il passa sa main sur sa joue endolorie, et elle vit apparaître des larmes dans ses yeux, mais il ne réagit pas. Peut-être s'il l'avait fait... Elle le gifla à nouveau. "Tu as oublié la serviette. Rien que ça !" Tout à coup elle eût une idée, et un sourire apparut sur ses lèvres. "Attends un peu, Michel, j'ai une solution. Allonge-toi sur le dos sans le sable." Michel ne savait pas ce qu'elle avait en tête, mais il n'avait pas envie de discuter, et il obéit. Dès qu'il fut sur le dos, Diane se mit à califourchon sur lui et s'assit pesamment sur le ventre de Michel, qui se mit à gémir. Elle était si lourde ! Il ne pouvait plus respirer. "S-s'il te plait, lève-toi ! S'il te plait..." Diane sourit en voyant la grimace de douleur sur le visage de son mari. "Tais-toi Michel. Je ne vais pas bouger. Ca va être l'occasion de te donner une leçon, et de me faire plaisir. Maintenant plie tes genoux." Michel obéit, et Diane détendit son dos en utilisant les jambes de son mari comme dossier... "Voilà. Tu sais Michel, tu es bien plus confortable qu'une serviette ou un matelas. J'aime ça. C'est finalement peut-être une bonne chose que tu ais oublié la serviette. Maintenant reste tranquille et sois sage !" Michel ne pouvait supporter ça. Elle était très lourde, et elle était en train de l'écraser. "S'il te plait, Diane... T-tu m'écrases... Tu es lourde... S'il te plait, l-lève-toi..." "Ecoute Michel, tu as la mauvaise attitude. Tu devrais plutôt penser au plaisir que tu es en train de me faire, et non à la douleur que tu subis. Je vois que j'ai encore beaucoup de travail pour te dresser. Bien, je vais rester assise sur toi comme ça toute la journée, Michel, et je ne veux plus entendre une seule plainte." Michel ne savait pas quoi faire. Le poids de sa femme sur son estomac était insupportable, et il apprenait qu'elle avait décidé de rester dans cette position ! Diane n'avait pas préparé ça, elle avait juste improvisé mais c'était finalement une idée parfaite. Encore une autre méthode pour apprendre à son mari la soumission. Elle venait d'exiger qu'il reste allongé là, la laissant s'asseoir sur lui aussi longtemps qu'elle le désirait, sans qu'il se plaigne. Elle regarda le visage de son mari, grimaçant de douleur, et vit qu'il avait des difficultés à respirer, mais elle décida qu'il saurait le supporter. Après quelques minutes, Michel essaya d'accepter sa situation. Il ouvrit grand sa bouche pour haleter. Diane appuya son dos sur les jambes de son mari et commença à profiter du soleil. C'était si relaxant pour elle ! Cela continua ainsi pendant encore deux heures, avec Michel suffoquant sous elle, lui n'ayant pour seul horizon devant ses yeux que les grosses jambes de sa femme. A suivre...