Un mariage infernal - Chapitre 4 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 4 = ============== Michel s'assura qu'il avait bien positionné son visage entre les fesses de sa femme, et alors qu'il sentait arriver l'odeur d'un nouveau pet, il sut qu'il ne pourrait pas dormir de sitôt. Il se remit à penser au début de leur relation. Il réalisa qu'il aurait dû voir tout ça arriver bien avant de se marier. Cette première fois, dans le cinéma drive-in, quand elle avait été en extase grâce à la langue et aux baisers de Michel, après avoir joui sur son visage elle s'était tellement détendue qu'elle lui avait alors pété au visage sans prévenir. Michel avait relevé d'un coup sa tête, s'attendant probablement à des excuses... Mauvaise idée ! Au lieu de paraître embarassée, Diane s'était mise en colère et avait giflé Michel. "Qui t'a dit de t'arrêter ? Est-ce que tu essayes de me mettre mal à l'aise parce que je viens de péter, Michel ? Est-ce que je devrais me retenir, et du coup avoir des crampes d'estomac ? Maintenant redescends ta tête et laisse-là en bas ! Tu m'as cassé l'ambiance, nom de dieu !" Et le pauvre Michel obéit, Diane souriant de cette victoire. Il avait été dressé à satisfaire Diane bien avant leur mariage. Elle lui avait appris à l'amener à plusieurs orgasmes à la suite, et également à ne pas se dégager quand elle jouissait sur son visage. Il avait appris à continuer à la lécher et la sucer à une allure plus lente, quand elle "revenait sur terre", comme elle disait. Michel apprit également à supporter l'odeur de son intimité : elle ne se lavait jamais avant, prétendant que cela lui gâchait le plaisir. Et pire, après leur mariage il avait même dû s'habituer à la satisfaire durant ses règles, et cela lui prit du temps pour pouvoir avaler le sang de sa femme, c'était tellement dégoûtant ! "Je sais chéri," lui avait-elle dit il y a maintenant tant d'années, "je sais que c'est sale et dégoûtant, mais Michel, si tu m'aimes cela ne devrait pas faire de différence. Je veux dire, penses-tu que cela soit normal qu'une femme doive se priver de sexe tous les mois à cette période ?" Comment pouvait-il argumenter face à une logique aussi égoïste ? Michel avait aussi appris que quand Diane était finalement satisfaite, ce qui pouvait prendre une heure ou deux, elle aimait s'endormir ainsi, et se mettait dans une colère noire si Michel cherchait à ce moment-là à retirer son visage. Ainsi il savait qu'il devait attendre qu'elle respire profondément, signe de son sommeil, afin de pouvoir glisser d'entre ses jambes, d'aller laver son visage et de se soulager de sa frustation sexuelle. Quand Michel se déshabilla pour leur nuit de noces, il se sentit tellement idiot avec son pénis emprisonné dans cette ridicule ceinture de chasteté. Quand Diane le vit ainsi, elle émit des gloussements. Il paraissait si désarmé face à elle ! "Oh Michel, c'est parfait !" cria-t-elle en tapant ses mains avec délice, comme une petite fille. "Je l'adore !" "Est-ce que t-tu v-vas me l'enle-lever, dis ?" demanda-t-il timidement, et Diane eut du mal à ne pas lui éclater de rire au nez. "Laissons-le cette nuit, chéri. J'adore la voir ainsi sur toi." Diane savait qu'il était à sa merci. Elle avait pris possession de tout son argent, et ils étaient mariés légalement maintenant. Elle pouvait se détendre, il ne pourrait plus aller nulle part. Il la regarda, peu sûr de lui et l'esprit troublé. Diane s'assit sur le lit, croisa ses jambes et expliqua la nouvelle situation à son mari. "Chéri, c'est ma nuit de noces et je veux que tu me fasses l'amour mieux que tu ne l'as jamais fait. La nuit de noces pour une femme est un moment vraiment unique et je ne voudrais pas que tu sois distrait par tes besoins égoïstes de mâle, et avec ton pénis emprisonné je suis sure que ce ne sera pas le cas. Maintenant mon chou, j'adore quand tu t'occupes de moi en bas, mais avant que tu ne mettes ton visage dans ma chatte, j'aimerais que tu embrasses un peu mes cuisses. Et mon cul. Cela sera une sorte de préliminaire pour nous. Michel chéri, maintenant que nous sommes mariés, les choses vont enfin pouvoir être différentes. On va pouvoir faire des choses que l'on ne pouvait pas avant. Je sens que tu m'appartiens maintenant. Totalement." Michel était toujours troublé. Elle continua : "tu sais combien j'aime m'endormir avec ton visage entre mes jambes après que j'aie joui, n'est-ce pas ?" Michel acquiesca de la tête, toujours interloqué. "Hé bien, cela m'a toujours ennuyé que tu te relèves et rentres chez toi. Et maintenant que nous sommes mariés, cela n'arrivera plus, n'est-ce pas ?" Michel répondit que non, cela n'arriverait plus, ne comprenant toujours pas où elle voulait en venir. "Bien. Viens. Faisons l'amour maintenant". Diane enleva sa robe et s'allongea sur le ventre, sur le lit. Michel observa le corps imposant de sa femme, et nota aussi la bière et le paquet de pop-corn sur la table de nuit. Michel s'approcha d'elle et commença à lui embrasser les fesses. Elle lui caressa le bas de sa tête : "comme ça. C'est bien. Attends, laisse-moi me mettre sous les couvertures." Diane se retourna et commença et tirer les draps sur eux. Michel prit conscience de l'odeur de sa femme, une odeur qu'il ne connaissait que trop bien. Elle ne s'était pas soucié de se laver, mais il savait qu'il n'aurait pas dû l'espérer de toute manière. "Maintenant tu sais ce que tu as à faire, comme nous sommes mariés tu vas pouvoir rester là-dessous toute la nuit pendant que je dormirai. Oh, Michel chéri, c'est si romantique !" Michel était toujours interloqué alors qu'elle lui tapotait la tête et le recouvrait de ses couvertures. "Oh chéri, embrasse-moi maintenant en bas, montre-moi comme tu m'aimes." Il commença à lui embrasser ses cuisses, puis autour de son sexe, et enfin lui lécha doucement ses poils pubiens. Michel haïssait cette odeur. Elle sentait toujours mauvais à cet endroit, et Michel savait qu'elle ne se souciait jamais de sa propreté, mais il savait également que ce n'était pas le bon moment pour en discuter. Il continua en embrassant ses jambes, puis finalement son sexe. En quelques minutes elle se mit à jouir comme une fontaine sur le visage de Michel, poussant ses mains sur l'arrière de sa tête, le pressant encore plus fort contre elle. Michel savait qu'elle venait d'avoir un orgasme, mais il continua à l'embrasser et la lécher doucement, comme elle le lui avait appris. Soudain Michel entendit un sifflement familier, et ensuite sentit l'odeur : elle avait pété. Il haïssait ses pets. Diane sourit. Elle venait de péter au visage de son mari, et il restait sans réaction. Oh, il allait être un mari idéal pour elle. Elle étendit son bras et lui caressa son cou, le seul signe d'affection qu'elle lui donnerait jamais. Ensuite Michel l'entendit appuyer sur la télécommande. Maintenant on se retrouvait comme au drive-in. Elle allait regarder la télé pendant qu'il devrait rester là-dessous à la satisfaire, encore et encore. Cela lui prit un peu plus de temps cette fois, mais bientôt elle jouit à nouveau sur son visage, et Michel de nouveau s'appliqua à la lécher doucement pour la "ramener sur terre". Cela prit des heures avant que Diane en eût assez, et Michel réalisa alors ce qu'elle voulait dire en disant qu'il devait rester en-dessous toute la nuit. Quand il essaya de se dégager, il constata que les larges cuisses de sa femme coinçaient sa tête et qu'il ne pouvait bouger. Il s'aperçut qu'elle s'était endormie, et il se rappela ce que sa femme lui avait dit sur le sujet de ne plus se relever. Cela signifiait-il qu'elle voulait qu'il reste là-dessous la nuit entière ? Oh non, non, elle ne pouvait pas vouloir dire ça ! C'était atroce sous les draps, l'odeur de ses pets était encore là. Que pouvait-il faire ? Et cette damnée ceinture de chasteté qu'il portait encore, et qui l'empêchait d'avoir un soulagement sexuel ! Et c'était sa nuit de noces... D'accord, il se doutait qu'il n'allait pas être autorisé à avoir des relations sexuelles avec elle, mais il espérait qu'au moins elle lui aurait enlevé ce truc et permis de se masturber. C'était sa nuit de noces à lui aussi après tout... Mais elle lui avait dit pas ce soir. Qu'aurait-il pu faire ? Une heure passa, et Michel resta en position, puis une autre heure. Que pouvait-il faire ? Puis cela arriva à nouveau. Michel sentit le souffle chaud du gaz expulsé du corps de sa femme, droit sur son visage, entendit le bruit et ensuite, ensuite... L'odeur. Berrkkk ! Michel ne pouvait en supporter davantage. Il commença à rationaliser. Elle ne pouvait pas vouloir dire qu'il devait rester ainsi toute la nuit, elle pensait certainement jusqu'à ce qu'elle s'endorme. C'était sûrement ça. Comme il était certain qu'elle était assoupie maintenant, Michel décida qu'il ne pouvait rester là-dessous plus longtemps et commença à remonter doucement. Mais, évidemment Diane se réveilla : "où vas-tu, Michel ? Pourquoi sors-tu du lit ?" Michel se sentit prit en faute, comme s'il s'était fait attraper la main dans une boîte de bonbons. Il ne savait pas quoi répondre : "je-je..." "Michel, est-ce que je ne te l'ai pas expliqué ? Je veux que tu restes là-dessous toute la nuit. Pourquoi cherches-tu à sortir du lit ?" Il essaya de lui expliquer : "s'il te plait Diane, je ne peux pas le supporter. Il fait chaud. Je n'ai pas d'air, et, et... Ca sent. Je ne peux pas respirer, je-je ne peux pas dormir. Ca ne va pas." Diane prit une inspiration : "écoute Michel, tu m'as réveillée et je suis fatiguée, c'est ça qui ne va pas. Maintenant je ne suis pas d'humeur à discuter de ça. Je t'ai déjà dit que je voulais que tu restes là-dessous toute la nuit, oui ou non ?" Michel serra les dents : "oui, mais..." "Il n'y a pas de mais ! Je t'ai dit que je suis fatiguée et je ne veux plus discuter maintenant Michel." Alors, s'appuyant sur un côté elle leva une de ses larges jambes et dit : "maintenant remets ta tête là. J'ai envie de me rendormir." Michel déglutit. Il savait qu'il valait mieux ne pas lui tenir tête avec l'humeur qu'elle commençait à avoir. Il retourna dans le lit et remit son visage entre les cuisses écartées de sa femme. "Non Michel, avance. Mets ton nez dans mon cul et ta bouche sur ma chatte." Michel obéit. Ca puait. "Comme ça. Bien. Maintenant reste là ! Juste comme ça." Diane redescendit sa jambe, coinçant ainsi son mari et remit les couvertures. De nouveau Michel se retrouvait confronté aux odeurs de sa femme. C'était complètement dingue ! Elle voulait vraiment qu'il reste ainsi là-dessous toute la nuit ? Oh non ! Il ne pouvait pas respirer. Il n'y avait pas d'air frais, et les fesses de Diane sentaient vraiment mauvais ! Seulement il ne voulait pas se disputer avec elle, en particulier pas durant leur nuit de noces. Finalement il décida de rester ainsi sous elle cette nuit, et qu'il lui parlerai le lendemain. Ce fut une nuit terrible, longue et inconfortable pour Michel, et il resta éveillé tout le temps. A suivre...