Un mariage infernal - Chapitre 3 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 3 = ============== Elle avait réussi. Elle n'avait jamais ressenti ça auparavant. La sensation de pouvoir absolu. Il avait accepté d'avoir son pénis emprisonné jusqu'à leur lune de miel. Leur lune de miel... Tu parles ! Une fois qu'ils seraient mariés, elle prendrait alors réellement le pouvoir. Elle voulait être sûre qu'il n'ait jamais aucun plaisir sexuel, jamais ! Voilà Michel, un jeune homme de 25 ans, normal, en bonne santé, dans la fleur de l'âge, et elle, sa femme, allait s'assurer de lui dénier toute jouissance sexuelle, quelle qu'elle soit. Quel puissance ! Et il avait accepté qu'elle puisse sortir avec d'autres hommes. Qu'est-ce qui pouvait rester à lui faire accepter ? Il regardait l'objet. Le tube de métal enserrant son pénis. La chaîne courant autour de ses testicules, et le cadenas dans son dos. Cela n'avait pas de sens. Il ne pouvait l'enlever, il ne pouvait même pas toucher son pénis. Il avait envie de pisser. L'extrémité du tube était ouverte, donc il n'y avait pas de problème de ce côté-là, mais il était sanglé le long de son ventre. Il alla aux toilettes et réfléchit au moment, puis se pencha au-dessus du siège. Il passa sa main entre le tube et son ventre, et le repoussa aussi loin que la sangle lui permettait, et cela lui permit d'uriner dans les toilettes. Il réalisa alors qu'il devrait toujours faire ainsi à chaque fois qu'il aurait un besoin. Mon dieu, vivement son mariage qu'il puisse enlever ce truc... S'il avait su ! "Ca y est, c'est bouclé." Diane était en train de prendre un café avec Carole, sa meilleure amie. Cette dernière ne pouvait y croire : comment un homme, un garçon plutôt, à l'aube de sa vie sexuelle, pouvait laisser une femme emprisonner son sexe ? Carole secoua la tête. "Est-il idiot ? Je veux dire, il semble qu'il agisse comme une vraie lavette." Diane sourit : "oui, on peut dire que c'est une vraie carpette devant moi. Il m'adore. Oh Carole, je suis excitée ! Il croit que c'est jusqu'à notre mariage, mais dès qu'il sera mon mari, et je sais que je l'aurai, je lui annoncerai que sa bite restera enfermée. Carole, c'est exactement ce dont nous avons toujours rêvé : me marier avec un homme et ensuite lui refuser toute forme de contentement sexuel, et me lécher par lui à chaque fois qu'il m'en prend l'envie. Carole, cela sera la seule forme de relation sexuelle dans notre mariage, Michel me bouffant la chatte à chaque fois que j'en ai envie !". Les deux femmes rirent. Michel savait longtemps avant leur mariage qu'il devait la satisfaire avec sa bouche et sa langue. Il avait toujours détesté et trouvé ça repoussant et répugnant, en particulier parce que Diane ne cherchait pas spécialement à se rendre propre à cet endroit, et donc qu'il y règnait toujours une forte odeur. Il avait toujours essayé de cacher son dégoût afin de ne pas la froisser. A chaque rendez-vous, il devait toujours aller entre ses jambes. Durant l'année précédant leur mariage, Michel avait amélioré sa technique, et cela excitait Diane de voir la facilité avec laquelle elle le dominait, et elle devint de plus en plus exigeante et égoïste. Elle demandait à Michel de l'emmener au cinema drive-in, et elle le faisait passer tout le film avec sa tête sous sa jupe, son visage contre son entre-jambes, à lui procurer orgasmes sur orgasmes, pendant qu'elle savourait à la fois le sexe et le film... Au contraire de Michel qui ne profitait ni de l'un ni de l'autre. La première fois que cela arriva au drive-in, Michel tenta de se relever après le premier orgasme de Diane, mais elle ne pouvait le laisser faire. Elle appuya la tête de Michel sur son entre-jambes et ordonna : "Reste là !" Il obéit, et un frisson parcouru Diane comme elle constatait sa capacité à le contrôler. C'était à cet instant qu'elle avait décidé qu'elle pourait se marier avec lui. Elle descendit sa main pour lui caresser le bas de sa nuque, tout en regardant le film et mangeant son pop-corn, pendant que Michel recommençait à embrasser son sexe humide, de la façon dont il savait qu'elle appréciait. Les caresses sur sa nuque et sur sa tête indiquèrent à Michel qu'il se comportait bien. Cela ne prit pas longtemps, après cinq minutes Michel entendit sa respiration s'accélèrer et alors elle ruissela sur son visage. Elle dût avoir dix orgasmes cette soirée-là au drive-in. Après le film, alors que Michel la reconduisait chez elle, elle découvrit son visage et faillit éclater de rire. Son liquide vaginal avait séché partout sur sa tête. Elle nota son air triste, et sentit qu'elle devait se montrer gentille avec lui maintenant. Elle ne voulait pas qu'il lui échappe. "Oh, Michel, je n'ai jamais apprécié autant une séance de cinéma ! Merci." Michel déglutit : "je n'ai rien vu du film, Diane." Elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire : "je sais chéri, et c'était d'ailleurs un bon film, mais tu m'as vraiment comblée. Oh Michel, j'adore quand tu t'occupes de moi comme ça en bas. J'adore jouir sur ton visage. C'est si romantique. Quelle merveilleuse façon de regarder un film, avec toi en-dessous et moi mangeant mon pop-corn." Que pouvait-il répondre ? Il était accroché, fou amoureux de cette femme plantureuse. Ils allèrent au cinéma drive-in toutes les semaines après ça... Et Michel ne vit jamais un seul film. Et elle ne permit jamais non plus à Michel d'avoir la moindre satisfaction sexuelle. Quand un soir Michel, après avoir amené Diane à cinq orgasmes consécutifs avec sa bouche, lui demanda timidement si elle pouvait le masturber, elle prit un air choqué, assurant que cela la dégoûtait. Et Michel dut attendre de rentrer chez lui pour se soulager lui-même. Michel supposait que cela s'améliorerait après leur mariage : comme il se trompait ! S'il avait su ce qu'elle lui réservait, il se serait aussitôt enfui. Mais tout ceci se passait quinze ans plus tôt, et il était bien trop tard maintenant. Soudain Michel entendit un bruit qu'il ne connaissait que trop et sentit un souffle d'air chaud envahir son visage. Diane venait encore de péter durant son sommeil. Bien qu'elle le fasse souvent, après quinze années Michel ne s'y était toujours pas habitué. Plus le temps passait, et plus il se sentait dégoûté par cette odeur écoeurante. Il savait que sa prochaine inspiration serait terrible, et ce fut le cas. L'odeur était abominable et Michel savait qu'elle mettrait au moins une demie-heure pour disparaître, à cause du manque de courant d'air sous les draps. Mais Michel connaissait hélas la loi de Diane : il devait rester parfaitement immobile et passif avec son nez rivé sur son anus. Passif : c'était son mot favori. Elle lui avait expliqué qu'elle trouvait ça très romantique d'avoir le visage de son mari coincé entre ses fesses lorsqu'elle pétait. Comment pouvait-il supporter ça, après quinze années de ce traitement toutes les nuits. Plusieurs années auparavant, Diane lui avait expliqué qu'en plus de la rendre heureuse, c'était bon pour lui pour apprendre à être doux et docile, comme elle voulait qu'il soit. A suivre...