La rééducation de Daniel - Chapitre 6 par escribe1@live.fr Une femme emmène son mari dans une clinique très spéciale... --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Breaking of Dan Newman", de Shelton Gregory paru dans "Miscellaneous Three". --------------------------------------------------- Pendant les deux semaines suivantes, Daniel ne connut pas un jour où il n'était pas drogué par un puissant produit chimique ou un autre. Des drogues pour renforcer sa peur, des drogues hypnotiques, des drogues pour le désorienter. Tous ces produits avaient porté à son comble la sensibilité de ses nerfs, ce qui lui rendait insupportable les séances où Suzanne le fouettait ou lui tordait vicieusement les seins et les testicules. Après quelques jours il était tellement conditionné que même un coup de fouet sans force lui causait une douleur terrible. De cette façon elle pouvait le discipliner sans lui causer de réelles blessures. Il ne pouvait s'habituer à cette souffrance. La volonté de Daniel disparut peu à peu. Il ne se souvenait même plus qu'il avait eu un jour sa propre volonté, quand ses tortionnaires en eurent fini avec lui. Il croyait de toute son âme que c'était ainsi que la vie devait être vécue. Et chaque atome de son corps était maintenant amoureux de Suzanne. Puissante Suzanne, magnifique Suzanne, Suzanne qui le fouettait parce qu'il l'avait mérité. Suzanne, la femme la plus magnifique du monde, Déesse Suzanne avec ses gants parfumés. Au cours des deux semaines qui suivirent, le niveau des drogues fut baissé jusqu'à leur minimum de routine. La doctoresse donna à Suzanne une énorme bouteille remplie de capsules bleues. "Donne-lui une par jour. C'est une combinaison de plusieurs des drogues que nous avons déjà utilisées. cela ne diminuera aucune de ses capacités, mais il restera ainsi pour toujours le parfait esclave que tu désirais et que tu méritais vraiment, chérie. Ramène-le dans six mois pour une révision complète. Quand tu l'emmèneras à l'examen psychiatrique, je témoignerai de son état mental. Injecte-lui ça à peu près deux heures avant les tests. N'importe quel juge au monde ne pourra que constater qu'il est devenu un cas désespéré. Tout le monde au tribunal se sentira désolé pour toi. Le juge te félicitera pour ton courage et ta dévotion. Maintenant ramène ton chien à la maison et fais-en bon usage !" ***** EPILOGUE ***** Suzanne ramena Daniel à la maison ; Barbara venait d'y emmenager quelques semaines auparavant. Suzanne fit ainsi les présentations : "Daniel, voici Barbara. Tu devras lui obéir aussi bien qu'à moi." Barbara tendit une main gantée. "Sens mon parfum, Daniel. Lèche mon gant. Goûte à mon odeur. Rappelle-t-en," ordonna Barbara. Suzanne avait longuement mis au courant Barbara de la situation et de la meilleure façon de prendre en main son mari. Barbara décida de le tester : "mets-toi à genoux et lèche-moi les bottes, je veux qu'elles brillent." Daniel se jeta immédiatement à terre, et se mit à lécher, laper et sucer avidement. Quelle chance il avait d'obéir ainsi à Barbara : cela plairait certainement à Maîtresse Suzanne. C'était tout ce qu'il désirait ! Suzanne et Barbara l'emmenèrent dans la chambre d'amis. Elles le firent se déshabiller puis lui enfilèrent un petit sac en cuir noir autour de son sexe, le fixant en faisant passer une ficelle autour de ses hanches. Enfin elles lui passèrent autour du cou un collier clouté, de cuir noir également. Sur ce collier était inscrit "Daniel le Chien". La chambre était vide, à l'exception d'un panier de chien géant que Suzanne avait fait fabriquer au Maroc. C'était pour faire une blague, avait-elle déclaré au douanier quand elle l'avait ramené en France. "Voilà ton lit, rien que pour toi, mon toutou. Ca te plaît ?" "Oh oui, Maîtresse," s'enthousiasma Daniel, "un lit rien que pour moi !" Suzanne fit enfiler à Daniel une paire de bottines à lacet, en cuir marron. "Demain, quand j'irai au travail, Barbara commencera à te montrer comment t'occuper de la maison, faire le ménage, le linge et la cuisine. Tu va être un parfait domestique. Et tu vas adorer ça, non ?" "Oui Maîtresse. Je vais adorer, du moment que cela vous plaise." "Oui, mon chien. Tu as raison, cela me plaira," confirma Suzanne. "Maîtresse Barbara devra te fouetter quelquefois. Tu n'es pas toujours parfait, en dépit de tous mes efforts pour te dresser. N'est-ce pas ?" Daniel prit un air contrit : "je ne sais pas ce qui ne va pas chez moi, Maîtresse Suzanne. Je ne mérite pas d'être votre chien. Je suis si faible et stupide. Vous essayez de m'améliorer depuis si longtemps. Pitié, gardez-moi auprès de vous. Je travaillerai dur, je vous le promets." Suzanne sourit à Barbara : "non, mon chien. Je ne vais pas te renvoyer tout de suite. Peut-être plus tard. Continue de faire de ton mieux, et on verra. Dis-moi, mon chien, qu'est-ce qui t'arriverait si Barbara et moi te rejetterions ?" Daniel éclata en sanglots, et se mit à ramper devant les pieds bottés des deux femmes. "Je dépérirai, je ne pourrais plus manger. Je finirais par mourir parce que je suis tellement stupide. Oh, vous êtes ma déesse et je vous adore tant, ainsi que Maîtresse Barbara." Suzanne lui sourit en baissant la tête vers lui. "Debout, mon chien. Je ne vais pas te punir aujourd'hui. Peut-être demain. Cela dépendra de ce que me dira Barbara de ton attitude. Vénère-la comme tu me vénères. Elle est parfaite, alors que toi tu ne le seras jamais. Elle a tellement plus de valeur que toi. Elle mérite que tu l'adores comme tu le fais. A partir de maintenant tu t'adresseras à nous comme Déesse Suzanne et Déesse Barbara. Chaque nuit tu passeras deux heures à nous vénérer en priant. Et tu aimeras ça !" "OUi, Déesse Suzanne. Je vais beaucoup aimer. Je vais adorer !" "Maintenant Déesse Barbara et moi voulons voir comment tu vas nous procurer du plaisir avec ça." Suzanne entoura sa main gantée autour du sexe de Daniel, à travers le petit sac de cuir. "Tu te souviens quand je t'ai dit ce que je ferai avec ma main gantée, si tu me satisfais vraiment ? " "Oui, Déesse. Vous m'avez dit que vous me laisseriez jouir." "Que je pourrais te laisser," précisa-t-elle. "On verra. Maintenant bande pour moi !" Barbara n'en crut pas ses yeux. Le sac de cuir se dressa immédiatement ! "Je te l'avais dit, chérie." Les deux femmes allèrent dans leur chambre, Suzanne tirant Daniel par son sexe. Elle s'arrêta pour enlacer sa jeune et superbe compagne, puis elles échangèrent un long baiser passionné. "Est-ce que tu m'aimes, Barbara ?" "Bon dieu, oui, Suzanne. Plus que tout au monde !" Suzanne sourit. Elle avait une situation financière florissante, une amante sensuelle dans son lit, et un esclave mâle combinant les avantages d'un mari, d'un domestique et d'un amant sans le moindre désagrément associé ! Elle savourait la perspective de cette nouvelle vie qui s'offrait à elle... *** FIN ***