La rééducation de Daniel - Chapitre 5 par escribe1@live.fr Une femme emmène son mari dans une clinique très spéciale... --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Breaking of Dan Newman", de Shelton Gregory paru dans "Miscellaneous Three". --------------------------------------------------- Le matin suivant, Nancy, Sandra et Mia entrèrent dans cette pièce qui pour Daniel était devenue une véritable chambre de torture. Nancy lui injecta plusieurs produits avec ses seringues, puis elles lui permirent de prendre un copieux petit déjeuner. Daniel était affamé et il prit le parti d'essayer de récupérer au mieux ses forces. Elles l'autorisèrent même à s'asseoir et prendre une deuxième tasse de café noir. Malgré lui, il se sentait reconnaissant de cette marque de gentillesse... Il venait de passer une nouvelle étape dans son dressage. Daniel entendit alors le bruit caractéristique de talons hauts claquant sur le sol. C'était pour lui comme s'il avait entendu s'agiter un serpent à sonnettes. En entendant ce cliquetis érotique de talons féminins, un homme retiendra toujours sa respiration en attendant de voir quelle est la femme qui en est à l'origine. Le Docteur Martha et la femme de Daniel, Suzanne, surgirent dans la chambre de torture. La doctoresse était vêtue d'une élégante blouse de nylon blanc, d'une jupe courte, blanche également, et elle était chaussée de cuissardes de cuir blanc, lacées sur le devant. La superbe femme de Daniel portait elle aussi des cuissardes, mais de couleur bordeaux, une jupe de cuir gris, si courte qu'elle en était indécente, une chemise de soie blanche ainsi qu'une veste de cuir assortie aux bottes. Elle tenait une longue cigarette entre ses doigts fins gainés de cuir gris. Sans l'ombre d'une hésitation, Suzanne se dirigea vers Daniel, releva sa jupe minuscule et lui exposa son sexe nu, qu'elle avait parfaitement rasé. "Embrasse ma chatte, chéri. Je viens juste de pisser et je voudrais que tu me la nettoies." Daniel explosa de rage. Il fit un mouvement désespéré pour essayer de la saisir, mais tomba de sa chaise alors qu'elle l'esquivait avec facilité. "Tu ne te rends même pas compte de la chance que tu as de pouvoir sucer ta merveilleuse femme," dit Sandra avec une pointe de jalousie. Elle donna plusieurs coup de pieds dans les côtes de Daniel, maintenant à terre, avec le bout pointu de sa botte. "Vraiment, Daniel," dit Suzanne en feignant d'être en colère, "avant tu n'en avais jamais assez, et maintenant tu refuses ! C'est vraiment impossible de te satisfaire !" Les femmes se mirent à se moquer de lui en riant. Suzanne se rapprocha de Daniel. Il regarda ses cuissardes brillantes, sa lourde poitrine et ses lèvres rouge sombre, qui se courbaient en un sourire dédaigneux et sadique. "Maintenant ton dressage va vraiment commencer, mon toutou. Avec l'aide de mes amies, je vais rentrer mes doigts gantés dans ta tête, en sortir ton cerveau, le presser comme si c'était de la terre glaise et le modeler à ma convenance. Et si je n'arrive pas à lui faire prendre la forme que je veux, je ne le remettrai pas à sa place, tout simplement. Je le réduirai en bouillie avec mes talons aiguilles." En disant cela, elle appuya sur le cou de Daniel avec le talon d'une de ses bottes, pressant son visage sur le sol. Sandra et Mia remirent tant bien que mal Daniel sur ses pieds. Elles lui menottèrent les mains derrière son dos, puis le poussèrent le long d'un couloir, derrière sa femme faisant claquer ses talons au sol, et le docteur Martha. Elles l'emmenèrent dans une pièce qui ressemblait à une petite salle de gymnastique. Au centre se trouvait une cage d'acier d'au moins six mètres de largeur. A l'intérieur de cette cage on pouvait distinguer un large cerceau fixé sur une base en bois, plusieurs petits tabourets et des bancs le long de la paroi. On avait l'impression de retrouver la cage d'un dresseur de lions dans un cirque à l'ancienne. Les deux femmes forcèrent Daniel à s'allonger sur une table en acier, et lui attachèrent les bras et les chevilles. Martha lui introduisit alors une seringue au-dessus du poignet : elle lui injecta de l'adrénaline associée à un agent retardateur, ce qui lui redonnerait d'ici quelques minutes un peu de force. Elle prit ensuite une énorme seringue hypodermique, reliée à une longue aiguille par un tube de plastique souple. Elle prépara le bras de Daniel et introduisit l'aiguille dans une veine. Elle tapota le tube et mis en place la seringue, laissant la solution s'infiltrer dans le corps de Daniel. Il eut beau se débattre, ligoté comme il était il lui était impossible de retirer l'aiguille ; le contenu de la seringue devait être injecté lentement. "En toute modestie, mes amies, je suis plutôt fière de cette drogue que je suis en train d'injecter à notre gros nounours. Je l'ai inventée moi-même, après plusieurs années de recherche personnelle. On sait maintenant depuis longtemps que le siège de la peur dans le cerveau se situe dans la région de l'hippocampe. Bizarrement, personne ne s'est jamais demandé si les cellules dans cette zone étaient différentes de celles du reste du cerveau. Moi j'ai vérifié, et il s'avère que la composition chimique des cellules y est légèrement différente. Elles contiennent un peu plus d'un certain type d'endorphine, appelée poly-2-endorphine. J'ai fait l'expérience d'introduire un énorme chat très agressif dans une cage de rats. Bien sûr ils étaient terrorisés, et après avoir ressorti le chat j'ai immédiatement sacrifié la moitié des rats pour examiner leur cerveau. Par un processus que je n'ai pas encore bien compris, la poly-2-endorphine de ces cellules avait subi une complète transformation chimique. Je ne suis pas une experte en chimie organique, et je n'ai pas complètement élucidé quelle était la nature de la nouvelle substance ainsi créée. C'est un complexe organique, difficile à analyser. Plus tard, quand j'examinai l'autre moitié des rats après qu'ils eurent retrouvés leur calme, la poly-2-endorphine était revenu à son état initial, et il n'y avait plus de traces chimiques de la terreur qu'avaient ressentie les animaux. J'ai étudié tout cela de longues heures, en modulant la peur des rats, par exemple en leur envoyant juste un son très fort. J'ai dépensé une fortune en rongeurs, mais j'ai finalement découvert comment le processus se déclenchait, et quel catalyseur chimique favorisait cette réaction extraordinairement rapide. C'était si simple que je me demandai alors pourquoi je ne l'avais pas découvert plus tôt. Notre patient ici présent est en train de recevoir en ce moment ce déclencheur chimique, associé à d'autres composants afin qu'il puisse l'absorber avec une vitesse très précise : une injection trop rapide l'amènerait à la folie et le ferait mourir de peur, au sens propre du terme. Il faut qu'il absorbe juste la bonne dose pour qu'il éprouve une réelle peur, incontrôlable. Cela marche d'autant mieux que le receveur a subi un stress traumatisant dans les soixante-douze heures qui précèdent, d'où le traitement que l'on lui a infligé ces derniers jours." La seringue était vide à présent. "Mettez-le dans la cage avant qu'il ne commence à ressentir les effets," ordonna la doctoresse. Mia et Sandra détachèrent l'homme et l'emmenèrent dans la cage. Elles le firent s'asseoir dans un coin, puis quittèrent la cage et fermèrent la porte. Pendant ce temps, Suzanne s'était changée. Des bottes cavalières noires enserraient ses belles jambes galbées. Un pantalon d'équitation en cuir beige, évasé sur les hanches, mettait en valeur tout le bas de son corps. Au-dessus elle portait une chemise noire en soie brillante qui enserrait ses seins nus et laissait deviner ses tétons durs et tendus. Son visage magnifique était couronné d'un chapeau de safari brun en peau de chamois, décoré d'une large bande en peau de léopard. Des gants de couleur chair montaient jusqu'à ses coudes. Du rouge à lèvres écarlate soulignait sa bouche large et sensuelle, qui brillait tel du cuir neuf. Et dans sa main elle tenait un long fouet... Pour compléter le tout, un fin cigare était planté au milieu de ses lèvres rouge foncé. D'étranges sons commencèrent à venir de la cage. Daniel gémissait tel un chiot effrayé par le fouet d'un maître cruel. Il se mit à ramper en arrière vers un coin de la cage et jeta des coups d'oeil rapides auteur de lui, avec un regard terrifié. Cette voix qu'on entendait était bien la sienne, mais il ne prononçait aucun mot : il ne faisait que gémir. Suzanne s'approcha d'un pas majestueux vers la cage, défit le cadenas de la porte et entra. Elle se mit à marcher lentement vers Daniel, pendant qu'il essayait désespérément de passer entre les étroits barreaux pour s'échapper. Son esprit drogué lui faisait apparaître sa magnifique femme comme une géante d'au moins six mètres de haut. Il était absolument terrorisé, persuadé qu'elle pouvait l'écraser tel du raisin pourri sous ses hautes bottes de cuir. "Pitié, non, Suzanne !" cria-t-il. "Pitié, pitié !" dit-il avant d'émettre des sanglots étouffés. Devant cette situation nouvelle pour elle, Suzanne eut un petit moment d'indécision. Elle était réellement amoureuse de ce bel homme. Elle s'était promise que quand elle l'aurait dressé, elle le traiterait tel un chien, mais gentiment, ne le battant que quand il serait désobéissant. Elle s'assurerait qu'il continuerait à trouver du plaisir sexuel, qu'il aurait un endroit propre et douillet pour dormir, et elle le laisserait lui sucer et lécher ses pieds pendant de longs moments. Mais à cet instant, elle devait le briser de façon à le transformer en un petit chiot docile. Suzanne fit claquer le long fouet en l'agitant tel un serpent au-dessus de la tête de Daniel. Il poussa un cri perçant, comme si elle lui avait déchiré sa chair. "Debout, Daniel ! Allez, sur tes pieds !" De nouveau le fouet claqua tel un coup de revolver. Daniel se remit debout en tremblant, tout en appuyant encore plus fort son dos contre l'angle de la cage. Elle s'approcha : "viens ici, chien ! Sur ce tabouret ! Vite !" Cette fois le fouet lui égratigna l'épaule, ce qui le fit hurler de douleur. La drogue exagérait toutes ses sensations. Les autres femmes, qui étaient restées en dehors de la cage, s'étaient confortablement installées dans des fauteuils, sirotant du vin et savourant le spectacle qu'elles avaient sous les yeux. Nancy, l'infirmière, commençait même à se masturber devant cette scène. Daniel se précipita pour monter sur le tabouret et se mit debout dessus. "Accroupi," dit Suzanne d'un ton glacial. Daniel obéit instantanément, son visage reflétant une terreur totale. "Lève tes pattes, chien." Daniel fit ce qu'elle lui avait ordonné. Suzanne leva sa main gantée devant le visage de son mari, puis la serra lentement pour former un poing de cuir brillant. Pour Daniel ce poing paraissait énorme. La drogue lui embrouillait tellement l'esprit qu'il s'imaginait qu'elle pouvait lui écraser le visage pour en faire de la purée. Il la supplia pitoyablement de ne pas le tuer. Le rire de Suzanne provoqua comme en écho celui des autres femmes. "Pauvre bébé," dit-elle avec douceur. "Non, je ne vais pas te tuer. Du moins tant que tu m'obéiras. Sens mon gant, chien. Sens l'odeur de ta Maîtresse. Sens cette odeur de cuir et de parfum. Maintenant lèche-le. Sens comme il est doux et parfumé. Vénère la main gantée de ta Maîtresse, petit chien." Daniel prit dans ses énormes mains celle de Suzanne. Il avait des gestes très doux et très attentionnés, effrayé qu'il était de la mettre en colère. Il inspira avec attention, sentant l'odeur forte du cuir, mélangée avec celle de son parfum et de la cigarette. Au plus profond de son esprit, cette assortiment d'odeurs l'excitait. Il devait s'en souvenir à jamais. Daniel commença à faire courir sa langue sur le gant lisse. Il ressentait encore de la peur, mais s'il était docile et gentil peut-être qu'elle ne le punirait pas. Oui, pensait-il, s'il était vraiment obéissant il n'avait pas à avoir peur. Ne lui avait-elle pas déjà dit que s'il lui obéissait, elle ne le tuerait pas ? Daniel lécha la paume, le dessus de la main de sa femme, et chacun de ses longs doigts. Le fait de vénérer cette main semblait le rassurer. Elle était si puissante et si grande. Il croyait réellement que cette main adorée pouvait le broyer si elle le désirait. Mais pour l'instant elle était gentille avec lui. Tant qu'il lui obéissait, elle serait clémente. Tout commençait à devenir très simple pour lui. Suzanne retira tout à coup sa main, et ce geste brusque remplit de terreur Daniel. "Pitié, ne me frappez pas !" implora-t-il. "Peut-être que je ne le ferai pas, Daniel. Cela depend de la façon dont tu m'obéiras et me satisferas. Tu veux me satisfaire, n'est-ce pas Daniel ?" "Oh oui," répondit-il instantanément. "Pitié Suzanne, pitié Suzanne," répéta-t-il encore et encore, comme s'il cherchait à se graver ces mots dans son cerveau. "Maintenant Daniel, je veux que tu t'allonges par terre et que tu roules sur toi-même vers moi. Maintenant !" Le ton de sa voix était soudain devenue cruel : cela faisait partie du dressage. Daniel tomba immédiatement à terre, et se mit à rouler plusieurs fois sur lui-même. Suzanne le frappa du bout de sa botte. "Non, sale chien ! Pas plusieurs tours sur toi-même. Juste un !" Daniel implora son pardon sans s'arrêter. Une peur intense s'était emparée de son ventre et envahissait de nouveau son esprit. "Très bien, Daniel. Tu es pardonné, mais si tu n'es pas assez attentif et que tu n'écoutes pas soigneusement, je devrai alors te fouetter très fort. Maintenant, lèche la semelle de mes bottes pour nettoyer la poussière. Fais ça pour mon plaisir, Daniel." Suzanne s'assit confortablement en tendant une de ses jambes vers lui. Daniel tendit sa langue vers la semelle sale de la botte de cuir. Il s'appliqua de son mieux pour essayer de la satisfaire. Il pensait avec terreur qu'elle pouvait quand elle le désirait le réduire en poussière avec ces bottes. Il adorait les pieds de Suzanne. Comme il aurait aimé à cet instant lui lécher et sucer ses orteils nus. Elle lui avait déjà permis de le faire quelquefois, comme il adorait ça ! Son sexe commença à se raidir. Suzanne s'en aperçut et sourit en direction des autres femmes. A nouveau le lien entre son pouvoir sur lui et la stimulation sexuelle s'établissait dans l'esprit de Daniel. Il progressait encore plus vite qu'elle ne l'avait espéré. Elle récompenserait la doctoresse pour ça en lui faisant l'amour après cette séance. Suzanne fit exécuter à Daniel toute un série d'actes dégradants. A un moment il se trompa et fit une erreur, et elle prit alors une cravache et se mit à le frapper sans pitié. La doctoresse lui avait bien spécifié de se montrer très cruelle avec lui, et ne lui témoigner aucune compassion. "Attention, Suzanne, tu es en train de savourer un peu trop cette cruauté," se dit-elle. Suzanne termina la séance en lui faisant lécher son anus, puis elle lui fit boire son urine tiède. Elle lui dit que c'était une récompense pour s'être bien comporté, et Daniel la crut. Il voulait tant être parfait pour elle, il allait faire de son mieux, il en était persuadé. Daniel fut reconduit ensuite dans la petite pièce, puis la doctoresse lui injecta un profond sédatif. Quand il se réveilla le lendemain matin on lui donna à manger. Il essayait de se rappeler ce qui s'était arrivé durant les dernières vingt-quatre heures. Les images du corps magnifique de Suzanne, de ses gants qui sentaient cette odeur si exquise, de ses bottes brillantes, dansaient dans son crâne. Une bouffée de peur s'empara de son ventre quand le souvenir de sa femme, debout au-dessus de lui, la cravache s'acharnant sans répit sur son corps nu, traversa son esprit. Daniel fut attaché à nouveau sur la table. Suzanne et la doctoresse entrèrent. Suzanne était superbe dans une veste de cuir rouge, couvrant une chemise de soie noire. Une adorable jupe noire, très courte, lui entourait la taille, et mettant ainsi en valeur ses longues jambes gainées de nylon noir. Elle avait aux pieds une superbe paire de courtes bottes noires aux talons vertigineux. La doctoresse planta une seringue hypodermique dans une bouteille remplie d'un liquide jaune. Elle en remplit la seringue. "Oh pitié, Suzanne, Pitié ! Ne la laisse pas me droguer encore une fois ! Pitié, c'est si affreux ! Pitié, Suzanne !" "Tu as été désobéissant, Daniel. Je vais devoir te punir pour ça. Peut-être vais-je te broyer." Ces mots déclenchèrent de grandes ondes de terreur à travers lui. Il ne comprenait pas. Etait-elle réellement capable de le broyer ? Etait-ce possible ? Peut-être, après tout. Il était de nouveau perdu. "Maintenant Daniel, calme-toi un peu. Je ne t'ai jamais injecté cette drogue avant, mais tu vas devoir t'y habituer, car je le ferai souvent à partir d'aujourd'hui. Cela va te rendre tellement détendu et ensommeillé que tu n'auras même plus envie de bouger. Suzanne va avoir une longue discussion avec toi. Tu vas aimer ce qu'elle va te dire. Tu vas adorer. Même si ce n'est pas ce que tu penses en ce moment, tu es très amoureux de Suzanne. Tu l'aimes à la folie. Je ne pourrais pas te faire toutes ces choses si tu ne l'aimais pas." La doctoresse lui serra une sangle de caoutchouc autour du bras, puis trouva une veine pour lui injecter progressivement le puissant hypnotique. En quelques instants les yeux de Daniel se fermèrent. Son visage angoissé se détendit et il eut même l'air d'un bébé en train de dormir. "Suzanne. Oui, j'aime Suzanne," murmura-t-il. Suzanne tira un tabouret pour le mettre à côté de Daniel. Elle alluma une cigarette et laissa la fumée passer entre ses doigts gantés. Puis elle passa sa main au-dessus du nez de Daniel : "sens-les, Daniel. Ce sont les gants de Suzanne. Ce sont les gants que tu connais et que tu adores. Ils t'excitent, Daniel. Les gants de Suzanne sont si sexys et excitants !" Sa main gantée glissa vers le sexe de Daniel et commença à le caresser doucement, d'un geste érotique. "Ou bien les gants de Suzanne peuvent être méchants et cruels." Ses mains entourèrent alors ses testicules et se mirent à serrer d'un coup. Il cria et essaya d'ouvrir ses yeux, mais l'autre main gantée les recouvrit. "Reste calme, Daniel. Calme-toi et écoute. Ecoute la voix de Suzanne. Tu n'entendras plus que ma voix. Tu vas vouloir faire et croire tout ce que te dira ma voix. Et tu aimeras ça, Daniel. Tu croiras que les choses que diront cette voix seront tes propres idées." Suzanne remit sa main gantée et parfumée au-dessus du nez de Daniel. Elle ronronna doucement avec sa voix sexy et basse. La voix lui disait combien il voulait la satisfaire. Combien il désirait devenir son vil esclave. Cela le rendrait tellement heureux. La voix continua pour lui dire que sa vie ne dépendait plus que de sa parfaite obéissance. Si elle se débarassait de lui, il ne pourrait plus vivre. Il mourrait d'amour pour elle. Puis elle murmura des choses obscènes et perverses à son oreille, tout en jouant avec son sexe énorme qui était maintenant dur comme du bois. Elle lui ordonna de ne pas éjaculer. Il n'y serait autorisé que plus tard, quand il serait devenu un esclave parfait, lui dit-elle. Alors il ferait et regarderait toutes ces choses érotiques et interdites qu'elle lui avait murmurées juste avant. Suzanne recommença, encore et encore, répétant et soulignant chaque détail. Presque deux heures passèrent, puis elle se leva tranquillement, laissant ce flot de pensées hypnotiques inonder le cortex cérébral de Daniel. Suzanne se dépécha de venir dans le bureau de la doctoresse. Celle-ci ferma à clé la porte derrière elle, puis commença à déboutonner la chemise de soie de Suzanne. "Plus vite, chérie," haleta Suzanne. "Cette séance avec Daniel m'a rendue folle de désir. Laisse-moi te montrer une de ces choses que je lui ai murmurées à l'oreille." A suivre...