La rééducation de Daniel - Chapitre 4 par escribe1@live.fr Une femme emmène son mari dans une clinique très spéciale... --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Breaking of Dan Newman", de Shelton Gregory paru dans "Miscellaneous Three". --------------------------------------------------- La beauté brune, immense et majestueuse, était vêtue d'un manteau de cuir noir et brillant, d'un chapeau de feutre noir, de cuissardes étroites au bout pointu, ainsi que d'exquis gants serrés. Elle portait une malette de cuir. Un mince fume-cigarette noir avec une cigarette rougeoyante était planté entre ses dents blanches parfaites. "Daniel chéri, comment te sens-tu ?" demanda-t-elle en s'asseyant dans le fauteuil en cuir, lui soufflant un nuage de fumée vers lui. Elle écouta patiemment la longue et violente réponse à cette question. Il finit en hurlant : "tu as quelque chose à voir avec tout ça, non ?" Suzanne sourit : "pas quelque chose à voir. Tu ferais mieux de dire que c'est moi qui suis à l'origine de tout ça. C'est mon idée." "Pourquoi ?" demanda-t-il avec une incrédulité horrifiée. Suzanne ne répondit pas. Au lieu de cela elle ouvrit sa mallette et en sortit une liasse de papiers agraphés ensemble. "Ceci est un acte notarié. Il me donne le contrôle total de tous tes biens et de tes comptes bancaires. Tu ferais bien de le signer, chéri." "Je ne signerai jamais, espèce de petite salope !" cria-t-il. "Même s'ils doivent me tuer !" "Comme tu es bête," ria-t-elle. "Je ne veux pas que l'on te tue. Je t'adore vraiment. Pour moi tu es comme un bon gros vieux et adorable Saint-Bernard. Mais les gros chiens sont tellement casse-pieds quand ils ne sont pas dressés correctement. Tu vas devenir mon bon gros toutou, Daniel. Tu verras comme c'est agréable d'aller chercher un os et le rapporter pour moi, s'allonger à mes pieds et lécher mes orteils." Et elle ajouta d'un air vicieux : "et puis je pourrai utiliser ta grosse bite quand j'en ai envie." Pendant ce temps, la belle doctoresse était en train de se préparer. Elle se doucha, puis s'essuya et passa une lotion sur son corps voluptueux. Elle enfila de fins gants de chirurgien et appliqua une dose généreuse de vaseline autour de sa taille et entre ses jambes, enduisant d'une couche particulièrement épaisse son pubis lisse et entièrement rasé. Elle enfila ensuite une culotte en latex de couleur chair. A l'intérieur de cette culotte, entre les jambes, était fixée une bande épaisse sur laquelle se dressaient plusieurs excroissances de caoutchouc, qui venaient s'emboîter étroitement dans l'ouverture de son sexe. Quand elle bougeait, ces "doigts" de caoutchouc allaient et venaient en glissant sur son énorme clitoris, lui procurant un massage sensuel. Elle retira ensuite ses gants pour enfiler sur ses larges seins un soutien-gorge très fin en latex. Au milieu de chaque bonnet se trouvait un trou, lui-même entouré de "doigts" en caoutchouc similaires à ceux de la culotte ; ces appendices venaient enserrer chacun des deux énormes mamelons de la doctoresse, ajoutant une nouvelle zone source de plaisir. Elle enfila ensuite une adorable tenue d'infirmière d'une pièce, en latex blanc. Le latex serré lui moulait de façon érotique ses fesses fermes ainsi que sa poitrine opulente. Elle passa un tablier de caoutchouc noir, tenu par des bretelles autour des épaules ; sur le devant de ce tablier était figurée une grande croix rouge écarlate. Enfin elle se maquilla de façon provoquante, enfila une paire propre de gants de chirurgien sur ses doigts longs et sensibles, puis mit aux pieds une paire de bottes de cuir noir, à hauts talons. Alors que Suzanne finissait d'expliquer la situation à son mari abasourdi, elle entendit le son de talons hauts claquant le long du couloir. "Je pense que c'est le Docteur Martha que j'entends arriver. Je vais lui donner ces papiers. Je suis sûre qu'elle arrivera à te convaincre de les signer. Les docteurs ont toutes sortes de moyens et d'outils pour amener les gens à faire ce qu'ils veulent. Je reviendrai ensuite et je l'aiderai pour ton dressage. Je dois encore te trouver un joli collier et une laisse. Salut, chéri !" dit-elle tendrement. La doctoresse entra dans la pièce. Suzanne s'étrangla d'admiration devant sa tenue excitante. Daniel était sous le choc : comment sa femme pouvait-elle lui faire ça ? Suzanne expliqua brièvement le refus de Daniel de signer, ce qui fit sourire la doctoresse. "Je dois y aller, Martha, j'ai rendez-vous avec Barbara. Elle emménage la semaine prochaine : j'aurai besoin d'elle pour garder Daniel pendant que je pourrai me consacrer à fond à mon boulot." Les deux femmes éclatèrent de rire, puis Suzanne partit dans un bruissement de cuir. La doctoresse gainée de latex s'assit dans le fauteuil de cuir sans dire un mot, pendant qu'elle commençait à lire les documents officiels. "Vous ne pourrez pas vous en tirer comme ça," dit Daniel avec rage. Le Docteur Martha leva les yeux et lui sourit, puis reprit sa lecture. "Tôt ou tard on se retrouvera au tribunal," continua-t-il. "Mais j'en suis sûre également," répondit calmement Martha. "Vous ne pourrez pas me garder toujours prisonnier ici, vous savez," ajouta Daniel. La doctoresse éclata de rire : "je ne le souhaiterais certainement pas ! Il y en a d'autres après toi qui attendent mon traitement. Bon, ces papiers semblent en ordre. Pourquoi tu ne veux pas les signer ?" "Jamais je ne le ferai !" cria-t-il. "A ton aise, mon chou. Tu vas résister juste un peu, le plus que tu pourras avant de craquer. J'adore les défis de toute manière," répondit Martha. "Maintenant écoute-moi bien, espèce de merde. Ces papiers établissent que tu n'es plus capable mentalement de gérer tes propres affaires. Quand tu iras au tribunal, ce sera dans une chaise roulante, poussé par ta femme éplorée. Tout le monde, y compris le juge, n'éprouvera que de la compassion envers cette pauvre femme qui aura courageusement accepté de s'occuper de son mari devenu complètement impotent. Et à tous ces moments où tu apparaîtras en public, ainsi que toutes les fois où des experts médicaux t'examineront, tu seras réellement devenu totalement sénile. Tu ne sauras plus où tu te trouves ni même comment tu t'appelles. Tu ne sauras que chialer comme un veau, incapable de prononcer la moindre parole intelligible. Mon expertise est d'ailleurs déjà rédigée : tu as subi une totale dépression nerveuse qui a évolué vers une forme de catatonie schizophrénique. Crois-moi, les drogues que ta femme adorée te donnera avant de passer au tribunal et devant les experts médicaux imiteront parfaitement les symptômes de cet état mental. Quand nous en aurons fini avec toi, Daniel, tu seras sous le contrôle total de ta femme, et ce jusqu'à la fin de tes jours." La doctoresse quitta ainsi Daniel, le laissant ressasser toutes ces terribles révélations. Quelques minutes après, Mia, Sandra et la pétillante petite Nancy vinrent le chercher. Elles le forcèrent à reprendre le couloir pour le ramener à la chambre de tortures, dont elles fermèrent la porte d'acier. Il allait y avoir des cris, et elles ne voulaient pas que n'importe qui puisse les entendre au dehors. Le docteur Martha était déjà là, les attendant. Elle demanda aux femmes de réinstaller Daniel sur la table, où elle le ligotèrent étroitement. "Merci, Mia et Sandra. Vous avez fait du bon boulot. Vous pouvez nous laisser maintenant, je suis sûre que Nancy et moi pouvons nous débrouiller toutes seules. Revenez demain vers dix heures du matin." Les deux femmes quittèrent la pièce. "Maintenant, mon cher garçon," s'adressa Martha à Daniel, "nous pourrions utiliser tout un tas de drogues et de méthodes psychologiques raffinées pour t'amener à signer ces papiers. Ne t'inquiète pas, nous utiliserons bien tout cela plus tard, mais mon plus grand plaisir réside dans la bonne vieille torture physique. Cela t'aidera en plus à te mettre dans de bonnes dispositions pour la suite. En d'autres mots, Nancy et moi allons te faire subir un tel calvaire que tu finiras par signer. Je pense même que quand nous en aurons fini avec toi, tu seras prêt à signer avec plaisir ton propre arrêt de mort. Attention, une fois que nous aurons commencé nous continuerons nos opérations jusqu'à la fin de ce que l'on a prévu. Nous ne te laisserons plus aucune chance de signer avant que l'on en ait fini avec toi, et si par malheur tu résistes encore à la fin, nous recommencerons la même procédure encore et encore, jusqu'à ce que tu obéisses. Il est encore temps : est-ce que tu as changé d'avis ?" Daniel secoua négativement sa tête, bravement. "Magnifique," fit Nancy. "On commence ?" "Allons-y," répondit la doctoresse. Alors qu'elle prenait quelques instruments dans un tiroir, la séduisante doctoresse expliqua : "les nerfs ne sont pas distribués uniformément, Daniel. Il y a plusieurs parties du corps où ils sont spécialement concentrés. Le bout des seins par exemple. Ceux des hommes sont aussi sensibles que ceux des femmes. Les tiens sont particulièrement gros. Ca va être très agréable de travailler dessus." Elle exhiba alors un instrument en inox. Il était constitué de plusieurs boucles de métal imbriquées les unes dans les autres. Elle disposa les boucles autour du téton droit de Daniel, puis les fit glisser de façon à coincer l'extrémité du mamelon entre deux boucles. Le bord des anneaux était assez arrondi pour que la peau ne soit que pincée, sans risque de la couper. La doctoresse fixa les anneaux avec des attaches, puis tira sur l'extrémité du mamelon sortant de l'instrument, l'étirant autant qu'elle le pouvait à l'aide de ses doigts gantés et recouverts d'une matière rugueuse. Tout en effectuant cette traction, elle appuyait de son autre main sur les anneaux fixés sur le reste du sein, distandant ainsi au maximum la pointe du téton de Daniel, ce qui le fit hurler de douleur. "Oh, oui..." dit-elle d'une voix rauque, jouissant visiblement de la douleur qu'elle infligeait à son prisonnier. "Maintenant ton sein doit être extrêmement sensible, n'est-ce pas ?" Elle se mit à tordre le bout du sein endolori de Daniel, ce qui lui fit hurler encore plus fort. Elle appliqua ensuite un antiseptique sur le sein. "Il est à toi, Nancy." La petite infirmière, impatiente, se saisit d'un appareil que Daniel reconnut vaguement. Cela ressemblait à un pistolet miniature pour tatouages. Elle remplit d'une drogue appelée prochloropérazine la petite coupe qui contient d'habitude la teinture. Ce produit, utilisé normalement pour lutter contre la nausée, avait l'effet secondaire de donner une terrible sensation de brûlure. C'était comme si on injectait du métal fondu ! Elle appuya sur un bouton, et la minuscule aiguille au bout du pistolet se mit à vibrer avec rapidité. Elle se pencha sur Daniel et pressa doucement la pointe de l'instrument sur son téton déjà au supplice. "Non !" hurla-t-il, sous l'effet de l'atroce douleur. L'aiguille perça sa peau fine à cet endroit, pour atteindre la chair à vif. Le terrible liquide imprégnait ses chairs avec l'aiguille, à la cadence d'un millier de piqûres par seconde. Ignorant les cris ininterrompus de Daniel, Nancy se lécha les lèvres et commença à promener l'aiguille bourdonnante tout autour du sein, maintenant tuméfié. Elle prenait son temps et passa plus de cinq minutes à torturer ainsi le mamelon de Daniel, dont le corps athlétique était inondé de sueur. Enfin elle arrêta ce traitement infernal, mais pendant de longs instants Daniel eut encore la sensation que son sein était rempli d'acide, avant que la douleur ne commence à s'estomper. Le docteur Martha retira les anneaux enserrant son sein droit, pour les poser sur le gauche. "Vraiment, docteur, je trouve que les hurlements de cet imbécile sont devenus désagréables, surtout dans une petite pièce comme celle-ci. Il n'y a pas moyen de l'arrêter ?" demanda Nancy. "Bien sûr. C'était excitant au début, mais je suis d'accord avec toi, cela commence à devenir lassant à force." La doctoresse prit une seringue hypodermique avec une aiguille longue et extrêmement fine, et la remplit d'un produit. Elle tamponna ensuite la pomme d'Adam de Daniel avec un désinfectant. "Je vais lui injecter ça juste là, des deux côtés, au niveau des cordes vocales. Ca va complètement les paralyser. Au pire il ne pourra qu'émettre des petits couinements étouffés, comme un crapaud." Malgré les supplications de Daniel, le docteur Martha introduisit l'aiguille dans son larynx. Sa voix s'atténua petit à petit jusqu'à devenir de petits claquements d'air. "Parfait, maintenant passons à l'autre nibard," dit en riant Martha. Daniel subit alors de nouveau plusieurs minutes de souffrance totale. Inversement, Nancy était en transes, son sexe gainé de nylon inondé de plaisir. Devant ce spectacle, la doctoresse bougeait et tortillait son délicieux petit derrière, afin de caresser son clitoris en feu avec les doigts élastiques de sa culotte. Quand elles eurent fini la torture du deuxième sein, les deux femmes sadiques firent une pause pour prendre une boisson rafraîchissante. Nancy demanda joyeusement : "on joue un peu à touche-pipi ?" "J'y pensais justement," répondit Martha. "Mets des gants, il peut y avoir des fuites." Nancy enfila une paire de gants en latex presque transparent. Elle remua ses doigts luisants : "les gants élastiques sont si sexy. Je veux dire, quand tu vois quelqu'un mettre de tels gants, tu peux deviner qu'il va faire des trucs vraiment méchants et sûrement douloureux." "Bien vu," répondit en éclatant de rire la doctoresse démoniaque. "On commence ?" demanda Nancy. "Moi aussi, j'ai hâte de commencer une bonne vieille petite séance de flagellation, à l'ancienne. Mais montrons-lui quelque chose d'autre d'abord," rétorqua la doctoresse. Elle s'approcha de Daniel et le fixa dans ses yeux terrifiés. Ses lèvres écarlates et brillantes se fendirent en un sourire séduisant et cruel. "Je suis sûre que tu nous détestes. Comme tu aimerais mettre tes grosses pattes autour de nos cous frêles ! Et pourtant, en dépit de cette haine bouillonnante, je vais te montrer le pouvoir qu'une femme peut avoir sur toi, et le peu de résistance que tu peux lui offrir." Le docteur Martha appliqua une généreuse quantité de lubrifiant sur ses mains gantées, puis elle commença à masser avec sensualité la base du pénis de Daniel. Ses pouces adroits pressaient avec délicatesse les points sensibles sous et autour de ses gros testicules. Elle se lécha les lèvres, se pencha en avant et agita sa langue moite sur le bout délicat du sexe de Daniel. Puis elle darda sa langue en la faisant spiraler autour de la zone délicieusement érotique où le gland rejoint le reste de la tige. En dépit de toute sa détermination, de toute sa haine, Daniel ne put empêcher son sexe de se raidir. Le traitement prodigué avec insistance par les doigts de Martha l'amenèrent bientôt à une érection totale, vingt centimètres de chair masculine dressée. Elle éclata de rire, en se moquant de lui : "tu vois petit homme, tu n'es qu'un jouet dérisoire entre les mains d'une femme déterminée. Tu n'es là que pour la satisfaire, l'amuser. Et comme un jouet tu peux être jeté au fond d'une vieille boîte le jour où elle se fatigue de toi." Toute l'âme de Daniel était comme broyée devant cette nouvelle humiliation. Martha attacha une sangle de cuir autour du scrotum de Daniel, enserrant la peau autour des deux testicules. Elle prit ensuite une bande élastique, munie d'un crochet à chacune de ses extrémités. Elle fixa un des deux crochets à la sangle déjà attachée à la base des testicules, puis tira sur la bande de façon à fixer l'autre extrémité à une barre d'acier qui se trouvait sur un côté de la table, infligeant une douleur terrible au supplicié. La peau à la base des testicules de Daniel était aussi tendue que la surface d'un tambour. La doctoresse tendit à Nancy un petit fouet muni d'une poignée souple et comportant plusieurs lanières à noeuds. "Fouette ce machin pour qu'il redevienne mou", dit-elle à Nancy. L'infirmière ne se fit pas prier, car cette séance la rendait folle de jouissance. Le petit fouet siffla dans l'air et claqua en s'enroulant autour du pénis de Daniel. Les petits cliquetis étouffés et aigus qu'il laissait échapper de sa gorge, signes de sa douleur, l'excitaient encore plus. Très soigneusement et avec méthode, elle fouetta les parties génitales de Daniel jusqu'à ce qu'elles deviennent rouge vif, le lacérant jusqu'au sang. Elle continua encore et encore, jusqu'à ce que Daniel cesse d'émettre ses sons étranges. Le Docteur Martha était maintenant inondée de sueur sous sa tenue de cuir. La façon dont les petits appendices de caoutchouc caressaient ses zones érogènes la rendait folle de plaisir. Elle se mit à masser frénétiquement son sexe trempé à l'aide de la bande de caoutchouc sur laquelle étaient fixés les doigts élastiques, jusqu'à ce qu'elle atteigne un orgasme tel qu'il la fit presque défaillir. De son côté, Nancy plongeait ses doigts gainés de latex à l'intérieur de son propre sexe épilé, se caressant un clitoris baignant dans sa divine liqueur. Elle atteignit vite elle-même sa propre jouissance, la faisant exploser de plaisir. Les deux femmes prirent ensuite une autre boisson, puis retournèrent vers la table. Daniel émettait des sons qui ressemblaient à des pleurs étouffés. "Oui, je sais, chéri. Tu nous supplies de signer, n'est-ce pas ? Mais je t'avais pourtant prévenu honnêtement de ce qui allait t'arriver. Maintenant subis-en la conséquence, imbécile !" Le doctoresse plaça ensuite un tube étroit en caoutchouc autour du bout du sexe tuméfié de Daniel. Elle poussa le tube le long du pénis de façon à ce que le gland ressorte en haut, puis passa une corde autour du tube, serra et fit un noeud. Le gland vira au rouge sombre. "Enlève ton gant droit, Nancy. Tes superbes ongles longs seront parfaits pour ça. Utilise la pointe des tes ongles et travaille doucement le bout gonflé de sa bite. Ne les enfonce pas jusqu'au sang, ce n'est pas la peine. Appuie juste assez pour que ça laisse des marques blanches. Occupe-toi spécialement de la base de son gland, c'est l'endroit le plus sensible. Ca ne provoquera pas la pire des souffrances, mais c'est le genre de petite douleur qui petit à petit peut rendre fou un homme. Prends tout le temps que tu veux, il n'ira nulle part de toute façon. Je vais préparer pendant ce temps mes "chaussures cruelles" pour notre ami." "Qu'est-ce que c'est, les chaussures cruelles ?" demanda Nancy. "Tu verras. C'est une de mes inventions." Nancy retira un de ses gants et agita ses griffes écarlates devant les yeux de Daniel : "ces ongles ne sont-ils pas magnifiques, chéri ?" Elle souleva son sexe et pressa lentement un de ses ongles à l'intérieur du méat urinaire. Daniel fut agité de secousses sur sa table. Elle sourit méchamment, et, toujours lentement, commença à tordre le gland avec ses ongles. Les gargouillis désespérés s'échappant de la gorge paralysée de Daniel lui indiquèrent qu'elle venait de toucher un nerf... Plusieurs milliers, pour être plus exact. Elle se mit ensuite à griffer avec deux de ses ongles le gland, du haut jusqu'à la base. Les yeux de Daniel ne reflétait maintenant plus qu'une immense terreur. Des jets de sueur jaillisaient de ses aisselles. Dix, quinze, vingt minutes passèrent et le supplice continuait. Son pénis était maintenant si douloureux que même le doux contact du bout des doigts de Nancy lui causait une douleur atroce. Enfin ce petit jeu finit par lasser Nancy. Elle relâcha son pénis martyrisé et le fouetta encore plusieurs fois avec les lanières à noeuds. Les larmes se déversaient des yeux de l'homme croassant. Le docteur Martha avait maintenant préparé ses chaussures cruelles. Elles étaient constituées d'une plaque d'acier imitant la forme d'une voûte plantaire humaine, mais exagérément courbée. C'était l'équivalent d'une chaussure dotée d'un talon d'au moins dix-huit centimètres. De fines bandelettes de métal étaient fixées tout le long de la semelle d'acier, munies d'un système de serrage permettant un réglage fin à l'aide d'une clé. Pour compléter le tableau, sur les côtés de la plaque qui étaient destinés à caler le pied était fixée une rangée de pointes longues chacune de deux centimètres, tournées vers l'intérieur. Martha nettoya la plante des pieds de Daniel avec un savon antiseptique, puis les tamponna avec de la Bétadine. Elle installa les fixations de métal sur le pied droit de Daniel. "Les pieds sont bourrés de terminaisons nerveuses," expliqua-t-elle à Nancy. "Ainsi, forcer le pied d'un homme avec une telle cambrure doit être extrêmement douloureux. On doit y aller tout doucement, pas seulement pour augmenter la douleur, mais aussi pour permettre aux os de s'ajuster. Sinon on risque la fracture. Bon, mets la clé là et serre de deux tours. Ensuite fais de même ici, toujours deux tours. Maintenant là. Prends ton temps." "D'accord, mais j'ai envie de pisser d'abord." Martha éclata de rire et désigna la tête de Daniel avec son index ganté. "Tu n'as qu'à lui pisser dans la bouche. Ce serait dommage de gâcher ça." Elles baissèrent les pieds télescopiques de la table, puis Nancy s'accroupit au-dessus de la bouche de Daniel, pendant que Martha lui maintenait la tête par les oreilles. "Tu ferais mieux de bien tout avaler, Daniel. Jusqu'ici aucune d'entre nous n'était de mauvaise humeur. Imagine ce que ce serait si tu venais à nous énerver. Beaucoup de jouets ont été cassés par de petites filles en colère." Du mieux qu'il put, Daniel s'efforça d'avaler toutes les gouttes d'urine tiède et salée. En faisant cela il réalisait qu'il était dans une situation terrible, sans issue possible. Elles étaient probablement capables de le tuer de la plus inhumaine des façons, si elles le décidaient. Il ne manquait pas de courage, mais il était tout simplement confronté à une force dévastatrice appelée FEMME, et, comme la plupart des hommes, il n'avait pas de moyen pour lutter contre ou même comprendre cette force. Nancy retourna ensuite aux chaussures cruelles, pour commencer à serrer les différentes sangles, une à une. Après quelques tours de clés, la plante des pieds de Daniel entra en contact avec la rangée de pointes bordant la semelle de métal. Nancy put constater par les mouvements désespérés du membre supplicié à l'intérieur des sangles de cuir que Daniel était en train de souffrir atrocement, coassant et sifflant pitoyablement avec sa gorge paralysée. Mais Nancy ne manifesta aucune pitié, elle continua sans état d'âme à serrer les sangles, enfonçant les pointes de plus en plus profondément dans la peau du pied, tout en le courbant dans un angle de plus en plus douloureux. De plus en plus serré, de plus en plus douloureux. Les deux femmes regardaient avec des yeux brillants de plaisir l'homme torturé se contorsionner sur la table. De plus en plus serré, jusqu'à ce que le pied de Daniel ait pris la courbure de la semelle de métal, du talon jusqu'aux orteils. Il faut reconnaître que Daniel eut le mérite de rester conscient avant de s'évanouir à l'ultime tour de clé. "Ouaouh !" s'exclama Nancy. "Ca c'était quelque chose ! A chaque fois que je serrais d'un cran, je le ressentais jusqu'au fin fond de ma chatte !" "Je te comprends, ma chérie," répondit Martha. "Réveillons-le. Je pense que je vais lui donner une chance de signer maintenant." "Déjà ?" s'exclama Nancy. Martha éclata de rire : "Tu es vraiment une petite sadique, n'est-ce pas ? Rappelle-toi qu'on en n'est qu'au début. Je suis sûre que tu auras bien d'autres occasions de te faire frémir ta diabolique petite chatte." La superbe doctoresse agita quelques sels d'ammoniac sous les narines de Daniel, qui ouvrit lentement ses yeux injectés de sang. De ses lèvres sèches sortit un son sifflant, émis du plus profond de sa gorge. "Bienvenue, de retour parmi nous, mon petit. Tu es réveillé ? Comprends-tu ce que je dis ?" Dan acquiesca de la tête. Son pied le faisait souffrir comme s'il était écrasé dans un étau. "Bien. Maintenant tu as une deuxième chance de tout signer en faveur de ta merveilleuse femme. Oui ou non ? Nancy est impatiente de commencer à travailler sur l'autre pied." Daniel hésita quelques brefs instants pendant que la doctoresse le regardait droit dans les yeux, un petit sourire aux lèvres. Il hocha la tête, faiblement, en signe d'assentiment. Nancy apporta les papiers, puis elles aidèrent le pauvre homme à se mettre en position afin qu'il y appose sa signature. "Libère son pied, Nancy." La petite infirmière blonde s'exécuta à contre-coeur. Elles amenèrent un lit d'hôpital roulant et y installèrent Daniel en le faisant glisser de sa table. Le docteur Martha appliqua un gel sur la plante des pieds trempés de sueur du supplicié. Elle envoya Nancy chercher des seringues hypodermiques remplies de produits qui entretiendraient la faiblesse physique de Daniel, et elle lui permit de boire un jus de fruit. Nancy et la doctoresse lui immobilisèrent ensuite les bras et les jambes à l'aide des sangles, puis Martha lui injecta un sédatif. "Quand tu te réveilleras, tu pourras parler à nouveau," lui dit-elle avant qu'il ne s'endorme. A suivre...