La rééducation de Daniel - Chapitre 3 par escribe1@live.fr Une femme emmène son mari dans une clinique très spéciale... --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Breaking of Dan Newman", de Shelton Gregory paru dans "Miscellaneous Three". --------------------------------------------------- Le lendemain matin, Daniel s'éveilla vers six heures. Il était toujours attaché sur la table. Il avait l'impression que sa tête était devenue un ballon rempli d'air brûlant. Pendant de longs instants angoissants dans cette pièce obscure, il se demanda où il était. Il lutta contre ses liens serrés, mais ses efforts ne produisaient aucun résultat. "Mon dieu !" s'écria-t-il à voix haute, "je me sens complètement à plat ! Qu'est-ce que c'est que cette saloperie qu'elle m'a injectée hier, cette espèce de peau de vache ?" Il resta allongé, à bout de souffle après cet effort, qui lui aurait paru insignifiant en temps normal. C'étaient les effets conjugués du Pentane, du Valium et du "remontant" préparé par la diabolique doctoresse. Un soudain sentiment de crainte et d'anxiété lui traversa l'échine comme un vent glacé. Il trembla de peur dans l'obscurité : cette angoisse était aussi le résultat des nombreuses drogues qu'on lui avait injectées. Soudain les lampes s'allumèrent. Quand ses yeux se furent accoutumés à la violente clarté, il vit une infirmière brune, de grande taille, debout à côté de lui. "Hé bien, M. Leneveu, il est temps de se réveiller. Comment vous sentez-vous ?" Daniel se lança alors dans une violente tirade, la questionnant, la menaçant, l'insultant. L'infirmière, qui avait déjà entendu ce genre de réactions de nombreuses fois auparavant, prit son pouls calmement et vérifia la fréquence des pulsations, puis elle lui prit sa tension. "Tout va bien, mon chou. Maintenant c'est le moment de prendre un petit déjeuner. Tu vas avoir besoin de beaucoup d'énergie aujourd'hui. Notre traitement est plutôt fort." L'infirmière sortit puis revint rapidement avec plusieurs objets et une grosse bouteille remplie d'un liquide laiteux. "Bon, maintenant ma poupée, je veux que tu me boives tout ça. C'est une préparation extrêmement nutritive, parfaite pour toi. On ne va certainement pas te laisser te déshydrater. Si tu refuses de boire, je n'aurai qu'à passer ce tube de plastique à travers ton nez jusque dans ton ventre." Elle prit une énorme seringue hypodermique. "Puis j'injecterai le liquide directement dans ton estomac. C'est à toi de voir ce que tu préfères." Daniel secoua négativement la tête. "Comme tu veux, mon chou. Tu ne vas pas apprécier le tube, mais pour moi ça va être un vrai délice de te l'enfoncer le long de ta gorge. Cela te permettra également de te convaincre que l'on peut te mettre toutes sortes de choses dans ton corps, dès qu'on l'a décidé." Il lui demanda où était sa femme, mais elle ignora ses questions. Elle enfila de minces gants en caoutchouc, puis appliqua un gel le long du tube en plastique. Quand Daniel essaya de bouger sa tête pour résister, elle lui agrippa les cheveux avec ses mains gantées, et lui tordit sans ménagement la tête en arrière. "C'est ça, chéri, résiste-moi. J'adore !" La cruelle infirmière plaça ensuite l'extrémité arrondie du tube dans une des narines de Daniel et commença à l'introduire doucement dans la cavité. "Cela sera plus facile si tu ne résistes pas avec ta langue, mais je te le pousserai jusqu'au bout de toute manière." Cette fois, Daniel coopéra, et très rapidement le tube trouva son chemin jusqu'à son estomac. Elle remplit alors la grosse seringue avec le liquide de la bouteille, plaça l'aiguille dans l'extrémité accessible du tube et fit jaillir la mixture. Elle continua l'opération jusqu'à ce que la bouteille soit vide, puis fit sortir le tube d'un seul geste. Elle lui tapota le ventre : "est-ce que bébé a bien bu tout son lolo ?" se moqua-t-elle. "Mais il ferait bien de continuer son gros dodo. Oh, j'allais oublier !" Elle prit une vasque en métal et prit le sexe flasque de Daniel dans sa main : "fais ton petit pipi, mon bébé. Si tu n'y arrives pas, je te poserai un cathéter. Et je te garantis que ça ne te plaira pas !" Daniel se concentra de toutes ses forces et réussit à remplir la moitié de la vasque. L'infirmière souleva le récipient au-dessus du pauvre homme avec une de ses mains gantées, et lui tint sa tête avec l'autre main, un éclat diabolique dans les yeux. Elle éclata de rire alors qu'elle faisait couler goutte à goutte l'urine tiède sur le visage de Daniel, jusqu'à vider entièrement la vasque. "Dors bien mon bébé," dit-elle doucement, puis elle quitta la pièce en éteignant derrière elle et verrouillant la porte. En dépit de tous ses efforts pour conserver son courage, Daniel était rempli de terreur. Il était maintenant bien incapable de se rendormir, dans l'état psychologique où il se trouvait. En début d'après-midi les lampes s'allumèrent de nouveau. Cette fois ce n'était pas une infirmière qui se tenait à côté de lui, mais deux femmes, très grandes et athlétiques, habillées toutes deux de la même façon : un pantalon serré de cuir noir, une veste de cuir, des gants de cuir brillant et des bottes cavalière munies d'éperons. Leur poitrine était nue, les deux azmazones exhibant leurs larges seins. L'une des femmes, dénommée Mia, portait des médaillons en argent sur le torse, accrochés par des chaînettes passant au travers de ses énormes mamelons. Celle qui s'appelait Sandra avait sur le visage un masque d'harlequin en cuir clouté, ses yeux noirs brillant d'un air menaçant derrière le masque étincelant. Elles s'avancèrent d'un air confiant vers la table. Sandra s'exclama : "ce connard s'est pissé dessus ! Tu pues, sale porc !" "Ouais, je suppose qu'on va devoir laver ce trou du cul. Emmenons-le dans la douche." Les deux femmes semblaient parfaitement sûres d'elles-mêmes pendant qu'elles détachaient les sangles et les menottes retenant Daniel. Dès que Mia libéra le bras droit de Daniel, il le leva sur elle pour l'agripper. Elle le regarda alors comme s'il n'était qu'un enfant turbulent et tendit sa main gantée, dégageant sans effort la prise de ses doigts. Il n'avait plus aucune force ! "Mon gars, tu n'es qu'une lavette. Il serait temps que tu t'en rendes compte !" dit en riant Mia. Sandra détacha son poignet gauche puis souleva Daniel pour le mettre sur ses pieds. "Alors tu veux te battre, mon grand ?" demanda Mia. Elle le gifla séchement avec la paume de sa main gantée, puis se mit à rire et le poussa vers Sandra. Sandra se saisit de lui, se mettant derrière son dos et tordant ses bras jusqu'aux épaules. Mia en profita pour lui asséner un violent coup de poing dans son ventre sans défense. Alors qu'il se tordait de douleur, Mia le gifla plusieurs fois, puis Sandra le lâcha et vint se placer devant lui afin de lui donner un coup de pied entre les jambes. Elle le laissa glisser à terre, puis lui botta les fesses avec la pointe de sa chaussure. "Tu veux encore nous poser des problèmes, ou est-ce que tu vas être un bon garçon obéissant et faire ce qu'on te dit ?" Daniel ne répondit pas, aussi Sandra posa son pied botté sur son aîne et commença à appuyer de plus en plus fort. "Réponds à la dame, connard, ou je vais t'écraser tes petites boules." "D'accord, d'accord," dit en gémissant Daniel. Il n'avait pas les moyens de résister davantage, de toute manière. Il ferait mieux d'attendre pour voir ce qui allait arriver, et peut-être pourrait-il plus tard profiter de situations plus favorables. Les filles le poussèrent sans ménagement sous la douche. L'eau glacée sembla le revigorer un peu. Il se sécha tout seul pendant qu'elles faisaient des remarques humiliantes sur son sexe imposant. "Il est bâti comme une mule," s'exclama Mia. "Ouais," répondit Sandra, "mais regarde comme il est flasque. Avec deux femmes superbes reluquant sa bite, tu ne crois pas qu'il devrait plutôt être au garde-à-vous ? Peut-être qu'il n'aime pas les femmes. C'est ça, pédale ? Tu aimes les mecs ?" "Sûrement les jeunes garçons," railla Mia. Daniel, oubliant sa faiblesse physique, se lança alors sur elle avec ses grandes mains écartées. Il voulait étrangler cette salope, mais Sandra tendit sa botte et il s'étala sur le sol. Mia lui donna une série de coups de pieds dans les côtes. "Il n'a pas l'air d'apprendre très vite, tu ne trouves pas ?" "Ce n'est qu'un homme," répondit Sandra. "Tu as raison, ma chère. Mais je ne sais pas si on peut considérer cette petite salope comme un homme. Je veux dire, il a la taille et les poils d'un homme, et il a bien cet espèce de ver qui se tortille entre ses jambes, mais il se bat comme une fille. Merde, j'ai un chaton à la maison qui se défend mieux que cette espèce de vieille dinde." "Oh, tu sais bien qu'il n'est pas en état de se battre. Mais je me demande s'il peut baiser." "Seulement les jeunes garçons." "Ouais, c'est vrai, j'avais oublié." Sandra s'assit sur le dos de Daniel et lui appuya son visage sur le sol. "Bon, voyons où on en est : je suis assise sur quelque chose qui ne se bat pas, et qui ne baise pas. Ca doit bien pourtant avoir une utilité !" Mia fit mine de réfléchir. "Hé, je sais ! Peut-être que ça peut sucer des trucs ?" "Quel genre de trucs ?" demanda Sandra. "Des culs !" suggéra Mia, l'air ravi. "Génial ! Vérifions s'il sait faire ça !" Mia fit glisser à terre son pantalon de cuir et se pencha en avant sur la table, dévoilant ainsi ses fesses nues, douces et fermes. "Bon, chien, mets-toi à quatre pattes. Rampe jusque là-bas et suce le cul de cette dame," dit Sandra en le faisant avancer à coups de bottes. Daniel se mit à avancer sur ses mains et ses genoux, vers ces fesses proéminentes. En fait, elles étaient superbes, mais quand Daniel arriva dessus et commença à les écarter, il put apercevoir quelques tâches marrons : elle ne s'était apparemment pas essuyée très soigneusement avec le papier toilette avant de venir. Daniel bouillait intérieurement. En temps normal, il aurait empoigné ces deux femmes dans ses larges bras et les aurait écrasées jusqu'à en expulser leur dernier souffle de vie. Mais maintenant il avait des difficultés ne serait-ce que pour se mouvoir. C'était un homme fier et rempli de dignité, et les outrages qu'elles lui faisaient subir allaient à l'encontre de toutes les valeurs auxquelles il croyait. La seule lueur d'espoir qu'il entrevoyait était que ces femmes ne cherchaient juste qu'à satisfaire un appétit sexuel débridé. Il était en effet évident qu'elles avaient des désirs précis dans ce domaine et qu'elles n'en avaient pas honte, et il était encore plus évident que toute cette mise en scène faisait partie de leur plaisir. Daniel hésita trop longtemps, et Sandra lui asséna un violent coup de pied avec le bout pointu de sa botte. Cela lui fit terriblement mal. "Sale pute !" hurla Daniel, "va au diable !" Sandra rit bruyamment. "Hé bien, hé bien, il semble que notre vieil ours cherche encore à grogner ! C'est drôle que tu parles du diable. Ceux qui ne l'ont jamais vu ne peuvent pas vraiment dire comment il est. J'ai entendu dire qu'en fait Satan était une femme !" Sandra se dirigea vers une armoire et en sortit une longue et menaçante matraque en métal. Elle appuya sur un bouton située sur la poignée et sourit d'un air mauvais quand l'objet se mit à bourdonner tel un frelon en colère. Elle s'approcha lentement, pointant vers lui le bout arrondi comme si elle tenait une épée, puis commença à l'enfoncer dans toutes les parties de son corps, à l'exception du visage, déclenchant à chaque fois une terrible décharge éléctrique. Il roula sur lui-même et se mit à trembler frénétiquement sur le sol, tentant vainement de saisir l'outil de torture. A chaque tentative, Sandra le repoussait sans effort en riant. Après ce qui lui sembla être une éternité, elle arrêta enfin son supplice. Daniel resta à terre, le souffle court, gémissant. "Maintenant, mon bon gros ours, est-ce que ça ne sera pas plus facile pour toi de bouffer ce superbe cul ? Je suis vraiment surprise que tu aies refusé. J'envie même ta position ! Moi, elle ne me laisse pratiquement jamais lui nettoyer sa merde !" "C'est parce que tu mords, espèce de chienne !" pouffa Mia. "Bon maintenant mets-toi un peu au travail, mon gros ours, ou je demande à Sandra de t'enfoncer cette matraque dans le cul !" Daniel rassembla ses forces pour se mettre à genoux. "Mon dieu, qu'est-ce que je suis en train de faire ?" pensa-t-il. "Allez, mon gars, ce n'est pas si terrible. En tout cas cela ne mérite pas tant de souffrances. On ne te demande pas de te couper la main. Garde donc tes forces pour plus tard. Lèche le cul de cette petite pute. Quand Suzanne saura ce qui se passe ici, elle sera aux anges !" Le pauvre Daniel ne le savait pas, mais il venait juste de franchir un nouveau pas vers sa propre destruction. Une nouvelle fissure dans sa carapace venait d'apparaître, et les deux femmes allait en faire un trou béant, mettant à nu l'homme vulnérable et effrayé qui se trouvait à l'intérieur. Il plaça ses deux mains sur les hanches de Mia et tendit sa langue chaude et humide à l'intérieur de son anus maculé de tâches brunes. Il eut un haut-le-coeur, mais réussit à contrôler son dégoût. "Plus vite et plus profond, mon gros ours. Montre-moi qu'il y a un vrai homme derrière moi ! Bouffe-moi à fond ! Nettoie-moi bien le cul, avale bien tous les restes odorants de merde que j'ai laissés spécialement pour toi ! Oh, c'est si bon ! Fais-moi jouir, mon chou !" Ce langage érotique et débridé de Mia se révéla contagieux. Daniel faisait pénétrer sa langue de plus en plus profondément et il l'agitait frénétiquement d'avant en arrière. Les gémissements de plaisir de cette femme, ainsi que ses ordres obscènes déteignaient sur lui. Il sentit la main lisse et gantée de Sandra se frayer un passage entre ses jambes et commencer à caresser son large pénis. C'était une experte en la matière, elle savait exactement où caresser et où s'attarder. En dépit de la délicate situation où il se trouvait, Daniel ne pouvait contrôler les réactions de son sexe, qui se mit à se dresser de plus en plus, avant d'atteindre une érection totale. Sandra dit en riant : "tu vois, mon gros ours, c'est bien plus agréable quand tu te mets à coopérer." Mia se retourna pour faire face à Daniel et agrippa ses cheveux dans sa main gantée. Elle tira délicatement sa tête vers son sexe ruisselant. "Bouffe-moi, chéri. Fais jouir ta Mia". Mia était déjà tellement excitée que cela ne lui prit pas plus d'une minute ou deux avant qu'elle ne se mette à atteindre un orgasme explosif. Juste au moment où elle commençait à jouir, la main gantée de Sandra agrippa le sexe imposant de Daniel et le secoua très rapidement d'avant en arrière. Il se mit à crier alors que d'épais jets de sperme jaillissaient en parsemant le sol devant lui. Mia remit son pantalon de cuir. Elle s'assura que Daniel l'ait bien vu piétiner son sperme encore tiède sur le sol avec la semelle de sa chaussure. "Dégueulasse," dit-elle. Elle s'assit sur le bord de la table et tendit vers le visage de Daniel le dessous de sa botte maculée de semence. "Nettoie-moi bien ça, chéri. Je pourrais glisser et me casser ce merveilleux cul. Avoue que ce serait dommage, tu ne pourrais plus me le bouffer !" Sandra appuya sur le bouton de la matraque électrique et l'avança vers le visage de Daniel. Daniel prit la botte entre ses mains et manqua de vomir alors qu'il léchait son propre sperme gluant et tiède, mélangé avec de la poussière et diverses saletés sur la semelle. A ce moment l'infirmière brune apparut avec deux seringues. Daniel essaya de s'échapper, mais Sandra et Mia le clouèrent facilement au sol en s'asseyant sur lui. Daniel sentit les piqûres et la sensation de brûlure alors que les drogues s'infiltraient dans ses muscles. Les femmes se mirent alors à échanger des plaisanteries entre elles, comme si Daniel n'existait pas, comme s'il n'était qu'un meuble, une chaise sous les fesses de Mia et Sandra. Elles parlèrent du nouvel appartement de l'infirmière, d'un nouveau magasin qu'elles avaient découvert, etc. Daniel pouvait sentir la drogue picoter dans sa tête. Le semblant de force qui lui avait semblé revenir juste auparavant recommençait à s'écouler de son corps. Une pensée terrible, énorme, lui traversa l'esprit : "mon dieu, elles pourraient me garder ainsi pour toujours !" Il laissa alors échapper un sanglot. L'infirmière regarda Sandra et sourit d'un air entendu : Daniel était en train de franchir une étape de plus vers son asservissement. Elle amenèrent à nouveau Daniel sous la douche. Une fois lavé, l'infirmière lui apporta son repas sur un plateau. "Mange tout, mon gars, ou je prends le tube," ordonna-t-elle. Daniel obéit. Le café légèrement amer qu'il but ensuite contenait une dose du "remontant" du docteur Martha. Elles allaient vérifier la façon dont il tolèrerait la prise de cette drogue par voie orale : sa femme lui en donnerait une dose plus petite tous les jours pour le restant de sa vie ! Elle le remirent ensuite sur la table et le ligotèrent afin qu'il fasse une sieste. "Tout à l'heure tu auras une vraie surprise, mon gros ours," lui dit en souriant Mia. Elles sortirent en éteignant, puis fermèrent la lourde porte d'acier. Peut-être une ou deux heures s'étaient écoulées quand la pièce s'éclaira à nouveau. C'étaient Mia et Sandra. Elles libérèrent Daniel et lui permirent de marcher un peu pour détendre ses membres engourdis. Puis elles l'emmenèrent le long du couloir pour entrer dans une petite pièce. Celle-ci était vide, à l'exception de deux chaises : l'une était en bois épais avec des sangles pour la poitrine, les poignets et les chevilles, et l'autre était un confortable fauteuil en cuir noir. Daniel fut attaché à la lourde chaise en bois, mais elles lui laissèrent libre sa main droite. Les deux femmes le laissèrent ensuite seul dans la pièce. Quelques minutes après la porte s'ouvrit, et la magnifique femme de Daniel apparut ! A suivre...