La rééducation de Daniel - Chapitre 2 par escribe1@live.fr Une femme emmène son mari dans une clinique très spéciale... --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Breaking of Dan Newman", de Shelton Gregory paru dans "Miscellaneous Three". --------------------------------------------------- Pendant ce temps la pulpeuse infirmière blonde avait emmené Daniel vers une petite salle d'examens. Il aurait été probablement plus soupçonneux s'il avait observé un peu plus attentivement autour de lui, mais il était plus préoccupé par ce magnifique arrière-train qui semblait lutter sous ses yeux pour sortir de la minuscule jupe de nylon. Il aurait dû se demander pourquoi l'unique autre issue de cette petite salle était une porte massive en acier, dotée de gonds renforcés et d'énormes verrous. "J'aurai besoin d'un échantillon d'urine plus tard, Monsieur Leneveu. Buvez d'abord ça. Cela nous aidera à savoir comment marchent vos reins. Ce n'est pas mauvais, n'est-ce pas ? Maintenant, passez derrière ce paravent et déshabillez-vous, prenez et enfilez ce peignoir, puis revenez vous allonger sur cette table." "Qu'est-ce que vous m'avez fait boire ?" demanda Daniel, derrière le paravent, "j'ai l'impression d'avoir la tête qui tourne." "Cela peut arriver avec certains patients," le rassura-t-elle. "Mais ça va passer dès que vous serez allongé." Daniel repassa devant le paravent, la démarche chancelante. Il s'installa sur la table avec l'aide de l'infirmière. Son parfum capiteux était très excitant. Il se sentit soudain épuisé, et ouvrit grand les yeux en secouant la tête pour lutter contre cette nausée envahissante. Il vit que la jeune infirmière était déjà en train d'attacher une large sangle de cuir autour de sa poitrine et de ses bras. "Qu'est-ce que vous faites ?" grommela-t-il d'une voix pâteuse. "Vous avez l'air d'avoir des problèmes d'équilibre, et j'avais peur que vous tombiez de la table," répondit-elle en attachant une autre sangle de cuir autour de ses cuisses. Puis il sentit tout à coup du métal venir enserrer son poignet droit, et il se remit à protester. "C'est quoi ce truc ?" cria-t-il, en essayant de dégager son bras gauche de la sangle qui immobilisait sa poitrine et le haut de ses bras. La petite infirmière se précipita instantanément sur lui, le surprenant par la force dont elle faisait preuve. "Allons, allons, Monsieur Leneveu, ce n'est pas la peine de résister. Ca ne vaut vraiment pas la peine." Dans l'état où il se trouvait, il ne put lui opposer la moindre résistance alors qu'elle lui attachait l'autre poignet. Quand elle eut fini, Daniel était profondément endormi. L'infirmière entrouvrit alors le peignoir de Daniel et jeta un coup d'oeil sur son pénis flasque, puis le souleva dans ses mains et examina ses larges testicules. "Oh, génial, je vais adorer jouer avec cet énorme engin !" Elle recouvrit Daniel avec une couverture verte et se dirigea vers l'interphone. "Ca y est, il dort comme un bébé, docteur. OK, c'est ce que je vais faire." Elle raccrocha et poussa la table sur ses roulettes vers la porte en acier. Elle sortit une clé et la plaça dans un trou sur le mur à côté de la porte. Celle-ci s'ouvrit en glissant silencieusement sur ses gonds, dévoilant une nouvelle pièce aux murs matelassés. L'infirmière poussa Daniel à l'intérieur et bloqua les roues de la table. Puis elle éteignit et ressortit en refermant derrière elle la porte d'acier. Dans le noir complet, entouré de murs insonorisés, Daniel se mit à ronfler. L'infirmière arriva dans le bureau. Elle prit le verre de Brandy que Martha lui tendait. "Hé bien, il a une bien belle bite ! C'est mieux que d'habitude !" "Tu y as déjà jeté un coup d'oeil, Nancy ?" Nancy pouffa. "Bien sûr. Je suis bien l'experte locale en boules et compagnie, n'est-ce pas ?" "On ne peut pas nier tes talents dans ce domaine, Nancy chérie. Mais tu vas devoir être un peu soigneuse avec lui. La femme veut que son mari revienne sans détérioration. Elle n'est pas lesbienne, Madame Leneveu aime la bite de son mari. Elle dit qu'il sait bien s'en servir." "Merde," s'exclama Nancy, "j'espérais qu'elle soit lesbienne, comme Madame Clarke." Madame Clarke était la précédente cliente à avoir amené son mari à la clinique. "Je n'ai pas dit que tu ne pourrais pas jouer avec sa bite, Nancy. J'ai juste dit que tu devras le laisser en bon état de marche. Par contre nous lui ferons une vasectomie, et si tu veux c'est toi qui t'en chargeras." Le visage de Nancy s'éclaira. "Mais pas de castration comme pour le vieux Clarke," ajouta la doctoresse. Nancy haussa ses adorables petites épaules. "Ce n'est déjà pas si mal," dit-elle avec philosophie. "Passe un coup de fil à Mia et Sandra. Dis-leur que nous aurons besoin d'elles demain vers midi. Je veux commencer dès demain le dressage de Monsieur Leneveu, de façon à ce qu'il soit déjà en condition lorsque sa femme reviendra dans la soirée. Une petite mise en train, gifles, humiliations, ce genre de trucs. Vous n'aurez pas besoin de moi pour ça. Avant de partir cette nuit, donne-lui une hypo de 5 cc de Pentane et 10 cc de Valium à 5 %. L'infirmière de nuit lui donnera mon remontant à quatre heures." "Ah oui, ce bon vieux remontant," sourit Nancy. "Ta formule secrète de sorcière. Qu'est-ce que tu mets réellement dans cette mixture ?" "Si je te le disais ça ne serait plus un secret, n'est-ce pas ? Au fait, j'avais oublié de te préciser que Madame Leneveu était à voile et à vapeur." "Whaou !" s'exclama Nancy. "Bon dieu, tu as vu son corps ? Son visage ? Tu es sûre qu'elle en pince aussi pour les filles ?" "Sûre à cent pour cent : c'est comme ça qu'on a a fait connaissance," dit Martha en souriant. "J'aurais dû le deviner," répondit l'adorable petite lesbienne, puis elle partit en laissant derrière elle un nuage de parfum. Le Docteur Martha se détendit sur son confortable fauteuil pivotant en cuir. Elle était heureuse et excitée : elle adorait infliger tous ces tourments aux hommes. Elle se rappelait comment les professeurs masculins à la faculté de médecine se comportaient avec les étudiantes. Ainsi que les internes... Ils l'avaient tous traitée comme si elle n'était qu'une petite gourde sans cervelle. C'est à ce moment qu'elle avait pris sa décision de commencer ses recherches sur les méthodes de conditionnement mental. Elle avait poursuivi ses études en psychiatrie, en se spécialisant dans l'emploi des drogues psychotropes. Elle eut même la possibilité d'essayer certains de ses "cocktails" sur des fous criminels internés à l'hôpital psychiatrique. Elle avait alors découvert que la clé résidait dans la combinaison d'un traitement intensif à base de drogues, d'une pression psychologique sans répit, et... de sexe ! Le sexe était le catalyseur de toute ces réactions. On ne pouvait pas transformer tous les hommes en esclave servile : le candidat idéal devait être très masculin, très attiré par le sexe et très intelligent. De plus, cela facilitait grandement les choses si le sujet était passionnément amoureux de la femme qui était destinée à devenir sa Maîtresse. Par contre, même si cela n'était pas impossible, c'était très difficile d'asservir un sujet mâle sans sentiment amoureux, mais la doctoresse travaillait sur ce problème. Si elle avait assez de cobayes humains pour faire ses expériences, elle était sûre de réussir. Elle avait d'ailleurs en ce moment même sous la main deux prisonniers enchaînés au sous-sol, que son équipe de filles avait capturés dans un bar, non sans avoir vérifié au préalable que ces hommes avaient un QI suffisant pour mener l'expérience. A suivre...